dimanche 27 avril 2014

Steve Vai - "For The Love Of God"







Moi je dis, ce type là, sur la place Saint-Marc, et cela aurait été
canon !  Tous les rockers présents fraîchement confessés
auraient ressenti qu'il y avait une autre voie, sans foi ni loi, que
la parole de François. Certes, dans les miaulements à cordes, les
riffs suraigus, il y a plus de révolte et de subversion que dans
le droit chemin, mais avouez, que "Pour l'amour de Dieu"
être doué comme Steve Vai à la six cordes, c'est quand même un
petit miracle. Saint Martin de Crau ? Pas pu aller communier, désolé.
Ouvrez deux tympans pour la faena de Steve, un Hard Metal qui se la
pète au philarmonique.

vendredi 25 avril 2014

Qu'est-ce que l'amour ?










HER


Extraits :

Un gros, un énorme navet : Scénarisé comme une vanne de Ruquier ( pour souligner le coté "penser malin"). Tourné comme une pub pour une banque en ligne ( pour souligner la déshumanisation). Joué comme une campagne de sensibilisation aux mycoses vaginales ( pour souligner le désarroi et l'émotivité des cadres).

Un chef-d'oeuvre d'intelligence, de sensibilité, de grâce, d'humour et de poésie.

                                             On voit bien qu'entre ces deux réactions l'écart est grand ! Disons-le tout net, il me semble que le premier avis est celui d'un gros bourrin qui soulève de la fonte au lieu de lire ou d'écrire. Il me semble que si j'étais une femme, c'est par le second que je souhaiterais être aimée.
Qu'est-ce que l'amour ? est finalement la question vaste à laquelle s'attaque Spike Jonze dans ce très beau film, ''HER'' qui invite à l'introspection. Et à la reprise de l'anglais au moment de demander vos tickets au guichet... un seul mot, comme ça, sans élan, avec un H aspiré, it is not easy... Le film est très bien servi par Joaquin Phoenix, un viril émouvant qui trimballe sa moustache triste dans le désarroi d'une séparation qui n'en finit plus, attendant, finalement comme tout un chacun, la dernière extrémité pour quitter une femme dont le souvenir des jours heureux, l'expérience de vie qu'il eût avec elle, l'attendrit toujours. Comment en serait-il autrement ? 

Il n'est plus avec elle depuis longtemps mais, se trouve incapable de mener les démarches d'un douloureux divorce, avant de s'avouer un jour la clé de l'inextricable nœud qui fera sursauter l'ex-divorcé que vous êtes, en prononçant ces paroles : 

<< j'attendais de ne plus l'aimer pour pouvoir la quitter...>> 
 
Car l'amour est un diesel, même s'il devait exister meilleure image pour embuer vos beaux yeux mesdames, un moteur progressif, une invasion lente qui ne démarre pas au quart de tour, mais croît doucement, s'instille insidieusement dans toutes les molécules de votre petit corps tout mou pour l'envahir, le baigner de liquide intersticiel en une décoction magique et vénéneuse dont on ne trouve pas forcément l'antidote rapidement, ni ne s'arrête net, comme une porte qui claque !

Alors ? Qu'est-ce que l'amour, mmm ? Vous pourriez le dire, vous ? Quand 90% des ''je t'aime'' signifient ''aime-moi !'' Comment le définir ? Est-ce la douleur du manque ? Le caprice affectif de vouloir être aimé par telle personne ? L'imaginaire d'un fol espoir ? La détresse d'une fiction rêvée ? La quête éperdue d'un absolu inatteignable ? Le deuil raisonnable des espoirs déçus ? La sage acceptation des renoncements, parce qu'on sait bien au fond : ces rêves que l'on nourrit, l'autre, jamais semblable, ne pourra les décoder tous... ? Parce que l'autre, celui qu'on connaît moins, celle qui semble si différente, échappe à la routine et sera vécue plus attirante que celle de la présence quotidienne, Ô injustice... 
Et si nous n'y pouvions rien ? Si au lieu de remplir les cabinets des psys rengorgé de culpabilité, il était écrit dans nos gênes que ce nomadisme ( vécu, rêvé, assumé, caché, larvé, autre...) est nécessaire pour la survie de l'espèce … ? Si c'était ''naturel'' ? S'il n'était pas possible de suffire à une seule et même personne, toute sa vie durant, Dupond ? Ah oui ? Vous croyez ? Une manière de se dédouaner, vraiment ? Ce film se le demande en tout cas et nous avec, qui le regardons engoncé dans notre fauteuil quitte à fermer les yeux endormi par la douce voix.

Car, à Los Angeles dans un futur proche qui permet d'acquérir de géniaux programmes pour tenir compagnie aux esseulés par des logiciels évolués, intelligents et sensibles, égrenés par la voix de Scarlett Johansson, peut-être là, plus sensuelle encore que si on l'apercevait, tant l'imaginaire frustré pédale à la recherche de sa représentation, quand on est quasi hypnotisé par le rythme lent et chaleureux de cette voix, de qui tombe-t-on petit à petit amoureux ? Du programme ? De son ingéniosité ? De la femme par la voix de laquelle il passe ? Du concepteur qui l'a créé ? Vers qui se rue-t-on en l'allumant quand on rentre chez soi ? De qui exactement devient-on dépendant ? Ne confond-t-on pas la fiction avec ce qui devrait être une réalité plus charnelle ? Comme cette voisine par exemple, si discrète et pudique, effacée même, mais pourtant bien réelle, elle !

Parce qu'à la fin, cette voix qui répond toujours trop bien, sans jamais provoquer de dispute ou de jalousie, cette voix qu'on imagine partenaire, exclusive, privée, pour ''nous'' entité humaine individuelle unique, que répond-elle quand on lui demande à combien de personnes elle est en train de parler extemporanément ?

  • Je parle à 6416 individus en même temps que toi...
  • 6416 ????
  • Oui...
  • Et... mais... tu...tu en aimes d...d'autres... que moi... ?
  • Oui, j'en aime actuellement 428...

Après cet électrochoc appliqué sur la relative naïveté de tout être amoureux, enfin sorti de l'envoûtement, la voisine effacée révèle d'étonnantes qualités : parmi les plus criantes, tout d'abord elle est là, elle existe, elle a une peau, une bouche, des seins ; elle est gentille en plus, on peut se confier à elle et poser même sa tête sur son épaule, c'est plus concret et vous n'avez plus à cauchemarder cette vision de 428 crânes s'entrechoquant en cherchant le même appui sur une seule et même épaule... 
Qu'est-ce que l'amour ? Quelles sont ses limites ? A quoi cela sert-il d'aimer ? Les purs esprits étant néanmoins aussi des corps organiques, au fait, la chair est-elle nécessaire à l'amour ? Pourquoi ce besoin d'aimer et d'être aimé ?
Peut-être, en pleine conscience de notre fin, pour que la vie vaille la peine d'être vécue ?
Mdr !!!!!

jeudi 24 avril 2014

La Pensée du jour

Qu'est-ce que l'amour ? 



L'amour est un mouvement affectif spontané vers un être qui nous procure une satisfaction. Cet attrait émotif peut s'appliquer à une personne, un objet ou même une idée. On peut aimer intensément son enfant, un endroit, ou les manifestations de courage, pourvu qu'on y trouve des satisfactions spéciales. 

On peut même éprouver de l'amour lorsqu'on n'a encore que l'espoir d'une satisfaction, un potentiel de bonheur. 

L'amour n'est pas une émotion en soi ; c'est une expérience émotive complexe qui comprend plusieurs émotions. C'est peut-être même la plus complexe de toutes les expériences émotives. On y retrouve souvent, par exemple, de la joie, de l'attrait ou du désir, de la tendresse, de l'estime, de l'attachement, etc. 

L'expérience de l'amour inclut aussi bien souvent de la colère ou du ressentiment ainsi qu'un sentiment de vulnérabilité.
Ce qui demeure constant toutefois, dans les différentes expériences d'amour, c'est le bien être ou le bonheur que nous procure l'être aimé. Plus précisément, nous considérons comme "bons pour nous" les êtres et les réalités qui suscitent notre amour. C'est parce que nous les percevons, plus ou moins explicitement, comme aptes à répondre nos besoins. Qu'ils y répondent déjà ou qu'ils soient porteurs d'une promesse de satisfaction, ils demeurent, subjectivement, une source de bonheur. 

Les amours fortes et profondes sont, quant à elles, empreintes d'estime. Elles ont sur nous un effet d'élévation. Les personnes qui l'inspirent ont un effet stimulant; à leur contact, nous sommes portés à être de meilleures personnes, à exploiter davantage nos ressources, à nous dépasser. 

Parfois on confond l'amour en imagination avec un amour réel. L'expérience subjective de l'adolescente amoureuse du chanteur populaire ressemble à l'amour par les émotions qui en font partie et par leur intensité, mais il manque un ingrédient essentiel: le contact réel avec l'être aimé. La satisfaction éprouvée est déclenchée par les fantasmes uniquement. Comme simulation pour découvrir l'expérience amoureuse, il s'agit d'une méthode extrêmement utile et d'un bon apprivoisement de l'intensité affective. 

L'amour romantique est une autre expérience qu'il faut distinguer de l'amour réel. Dans cette forme de relation, l'important est le plaisir d'être aimé et non l'amour de l'autre pour ce qu'il est. Je me délecte de son penchant pour moi et des avantages qu'il me procure: marques d'attention, réactions fortes à ma présence, sentiment d'être désirée, etc... C'est l'effet de son regard sur moi qui me satisfait et non le contact réciproque. Que l'homme ou la femme en soit l'objet, c'est le regard admiratif de l'autre qui constitue l'essentiel de la relation. 

Comme l'illustre la série d'exemples présentée plus haut, on se sert du même verbe, "aimer", pour exprimer différents genres d'attraits. Il s'agit toujours essentiellement de la même expérience d'amour, mais les dimensions impliquées et l'intensité des émotions varient énormément. 
                                                                                               
                                                                          Michèle Larivey psychologue

lundi 21 avril 2014

Ouais, ça va, le j'arrive-édito...

Ouaaaaahhh…. Groumpffffff…Rhââaâaghhh… Oh ? noooon, z’êtes toujours là… ? Faites chier… pas très discret d’assister au réveil des gens… on peut pas hiberner tranquille, non ?… à force d’aller dans les salles obscures, je m’y étais endormi. Je crois que j’ai quatre ou cinq ans de sommeil en retard. Ce que j’aimerais ? Un shoot massif de Lexomil pour oublier tous les problèmes de la vie et enfin me reposer. En intraveineuse. Ou une sauvage bigne de casse-tête en bois dur mal poli, manié par la musculature d’un néandertalien sur mon os occipital de mâle sensible évolué, histoire d’atteindre enfin une inconscience douce. En instantané.
Marre d’assumer. Marre des reproches. C’est comme ça, les gens : JE NE SUIS PAS PARFAIT !!! Eh non…merde à la fin… Le mec parfait, il est dans votre cerveau malade après engagement cérébral suite à bigne éducative judéo-chrétienne à la con et autres contes de fées vomis par des écrivains ratés, et nulle part ailleurs… Nous, les hommes, les imparfaits revendiqués, il faut nous aimer pour nos imperfections… voilààààà… c’est dit… Nos si attachantes imperfections, qui pimentent votre vie, c’est celles-là qu’il faut aimer.
Lâcher prise, enfin, rhâaaa… ouiiiii…. Déjà, j’ai réussi à me déscotcher de l’écran, je me fous du blog, mais alors, d'une force... me fous de tout, c’est pas mal non ? Le truc incompréhensible c’est que plus je me couche tôt, plus je suis crevé…
Autre chose, enfin non, pareil, tout m’est égal… m’en fous des toros… y’en a sur Arles pas plus tard qu’aujourd’hui parait-il… ben je m’en fous… j'ai préféré tondre, c'est dire... la politique… avouez… avec ce qui s’est passé, j’aurais pu me défouler grave… ben je m’en fous itou… j’me sens flou, j’ai mal au cou, tout mou du genou, mais peut-être pas de partout, et pire, pas seulement pour la rime, je le répète, je m’en fous. Mais, vraiment !
D’après un spécialiste en ratabomi (notion locale de ras-de-bolisme exprimé dans les bistrots de la place de Saint-Laurent d’Aigouze sur la place des arènes…) je souffrirais d’une acédie aiguë ce qui expliquerait que j’en n’ai pas assez dit durant ladite période. ‘ttendez bougez pas, c’est lourd un Larousse, je vous la donne :

Acédie : nom féminin (latin acedia) Etat spirituel de mélancolie dû à l’indifférence, au découragement, ou au dégoût.

Recta, pile-poil, bingo, à bomber, esso es. C'est ça qu'j'ai... Fatigué des questions sans réponses, épuisé des hésitations maladives, écoeuré des critiques de principe, dégoûté des psys toxiques, déçu par les engagements ténus. Beeeerck, laissez-moi vomir mes tripes, mon cœur, ma glotte et ma bile. Vous étiez si peinards quand je n'écrivais plus... Il me faut de la lumière, de l'amour et des toros. Des émotions sans masturbation. De l'art, du goût, et des ragoûts, de la beauté, de l'inspiration. Des cuissons lentes et des morceaux choisis, des feux vifs, des braises mortes, des siestes sous les ifs, des odeurs et calories, des caresses et des confits, des baignades sur récifs. Ses baisers. Du soleil, du foutre, des loutres, des spasmes et des orgasmes et de la lumière encore, noire, comme des toros blancs. Et puis un regard bronze, de jeune louve, qui me couve, m'apaise et me transcende, enfin permanent.

Bon, ça va mieux, vous ? Maintenant que je vous ai donné de mes nouvelles ce dont vous n’avez rien, mais alors absolument rien à farfouiller, qu’est-ce qu’on fait ? On ouvre un compte facebook pour avoir de nouveaux amis et papoter entre électrons ? Non. Toujours pas. Vous vous foutez bien de savoir ce qui pourrait me stimuler, n’est-ce pas ? Donc j’vous le dis : une faena de José Tomas peut-être… ou de Morante… non, de Julio Aparicio soudain investi d’ondes chamaniques entre deux borrachadas majeures… Et si le paparazzi de Closer avait eu une arme à la place de son téléobjectif, hein ? L’aurait pas rendu service à la France, peut-être ? Non, rien, une réflexion, comme ça…

Sinon, dans ce Fouzytou-édito j’ai à vous confesser que je suis bien emmerdé… et par un Breton, en plus. C’est emmerdant les Bretons… ça comprend pas l’esprit latin… entiendes que tchi… ce retraité de l’armée françoise s’est mêlé de faire un livre sur la corrida… n’importe quoi… est-ce que je fais un livre sur la course autour du monde en solitaire au prétexte que j’ai vu des pré-pubères tirer des bords sur l’étang pollué du Ponant un jour sans vent, moi ???
Ou un traité sur l'histoire de la prestigieuse école des Glénan au prétexte que j'ai un jour, par un judicieux retrait du buste, évité in extremis la bôme d'un 420 qui dérivait droit sur ma trombine ?

Ben non... et pis c'est tout. En plus, sa lettre commence très mal... il paraîtrait que je suis quasi – moult compliments mais je fais semblant d'être pudique – soit rien de tel pour éveiller ma suspicion et se termine encore plus mal en m'assurant que les bénéfs iront à des écoles du toreo : une bonne action : tout ce dont j'ai horreur... Est-ce qu'un type comme Tabarly pouvait sortir d'une école de ''voileo'' ? Non... l'était pas ''mondialisé'' du tout Tabarly... 

Le livre ? Ben... de gentilles photographies couleur de magazine propret, avec de gentils commentaires où, parait-il même l'aficionado pourra apprendre des choses... là, les doutes ne font que s'amplifier... ou alors Breton s'entend, l'aficionado... c'est très naïf, et, comme la philosophie de comptoir, ne tient aucun compte de ce qui s'est pensé avant... comme le récent ''Comprendre la Corrida'' de Viard par exemple – et sans remonter jusqu'aux Corrochano, Tio Pepe, Cordelier - où là, oui, l'aficionado pourra éventuellement apprendre deux ou trois trucs... 

Un extrait ? Voici :
« Le toro brave pousse le picador jusqu'aux planches : celui-ci se défend comme il peut, mais il ne doit pas s'appuyer aux planches pour résister au toro. Il doit, c'est évident, être bon cavalier pour se sortir de situations comme celle-ci ( ce pourquoi les chevaux aussi sont entraînés) et ne doit pas chercher à se venger à la pique suivante » 

Bon bref, en un mot comme en cent et puisque je l'ai prévenu – je ne dis que ce que je pense (sauf quand je fais semblant de penser autre chose...) - si, moi, j'aurais pu écrire ''Oui-Oui navigue dans un Optimist'' je dois déclarer pour être honnête, que ça, c'est comme qui dirait : ''Oui-Oui fait des passes à un toro''. Une naïveté qui me rappelle un peu celle de mon fils (comme j'en ai deux, ils peuvent toujours ''psychoter'' pour savoir de qui je parle...) quand il vient d'apprendre quelque chose et qu'il me l'explique en supposant que je la découvre... et là il faut que je le laisse parler, il est si content...

Mais quoi ? Notre sympathisant doit être content justement, il a réalisé son rêve, vécu sa passion, réalisé son album photo, d'un truc universel qui n'appartient à personne et il a bien raison de s'épanouir ainsi !!! 

Oualàààà... ouf, j'ai bon là, non, question humanisme... ? Il était temps, hein... Après, comment dirais-je, avec mon recul et mon cynisme ambiant, s'adresser à moi était sans doute une erreur tant tactique que technique ! S'il vous plait les gens, ne le faites plus, laisser moi parler de ce dont j'ai envie... En plus, franchement, je suis trop zarbi, moi, pour que ça ait la moindre retombée bénéfique... Alors je dis oui parce que j'ai envie d'être gentil, mais voyez, dès que j'écris, comment ça tourne...??? Vive la Bretagne ! (quand il ne pleut pas...)

Bon voilà c'est fait, je n'aime pas promettre et pas tenir, ça m'a obligé à sortir du bois. J'y retourne. Pour combien de temps ? Alors, là...
Je suis content. Jean Yves Blouin, je sais pas... En tous cas ça s'appelle ''Introduction à la Corrida'' c'est édité chez ILV Edition et ça vaut... 'ttendez que j'le retourne... 22 euros. Oh putain... tout le monde n'est pas retraité de l'armée... et au-dessus de 15 euros, c'est difficile à vendre, un livre... Bon vent... oh non... pas sympa... j'avais pas pensé au double sens... De plus, je suis bien persuadé que des trucs de vulgarisation comme ça, ça se vend mieux que des trucs de spécialistes plus hermétiques. Si.

dimanche 20 avril 2014

Huit Minutes de ''Led Zep''







Huit minutes que certains ont pu ne pas découvrir encore, huit minutes si longues sur lesquelles certains ont pu d'un slow qui finit en apothéose, vivre un véritable rapprochement amoureux, huit minutes de l'histoire du rock, huit minutes pour une danse dont l'acceptation était presque un engagement tacite, huit minutes pour se souvenir d'une époque plus exaltante.