Le peuple des Français du Sud conservera ses traditions
taurines, peu importe le prix.
Il ne se laissera jamais manipuler, comme celui de la
Catalogne, par de basses
manoeuvres politiques. Les animalistes ne sont pas un
parti politique. Et même si leurs bulletins de vote intéressent les politiques,
les nôtres sont plus nombreux et ils
compteront aussi.
Par ailleurs, nous ne souhaitons pas non plus l’indépendance,
comme la Catalogne.
Que la fondation Franck Weber en soit consciente et ses
bons amis politiques aussi,
leurs actions d’éradication de la corrida ne
fonctionneront pas chez nous.
Désastre environnemental
· 50 éleveurs de toros de
combat, représentant un cheptel de 7 500 têtes.
· 140 éleveurs de taureaux
camarguais, représentant un cheptel de 20 000 têtes.
· L'environnement serait en
grand danger sans les éleveurs, qui gèrent leurs territoires comme des
mini-parcs environnementaux… gratuits pour les Collectivités et l’État.
· L’équilibre de l’écosystème
de toute la Camargue, dont la petite Camargue, qui est la plus grande zone d’élevage
(BdR et Gard), pourrait être rapidement remis en cause.
Sans parler des terres d’élevage de bétail de combat dans
le Sud-Ouest.
Quelles en seraient les conséquences ?
Effondrement des Cultures taurines
Un drame pour toutes les Cultures Taurines du Sud,
Corrida, Camarguaise, Landaise, mais aussi toutes leurs cultures induites :
littérature, philosophie, poésie, danse, musique, peinture, sculpture, mode,
théâtre, cinéma, opéra, etc. Une très grande richesse culturelle
· Pourraient aussi disparaître
plus de 1 000 associations françaises attachées à ces
cultures, créant du lien social et de l’activité dans
toutes nos régions, et même ailleurs en France.
VI - POURQUOI des animalistes
?
· Pour se nourrir, survivre et
accroître son habitat, l’homme a éliminé beaucoup d’espèces d’animaux. Pas
celle de l’aurochs, qui a survécu en évoluant comme espèce domestiquée.
Puis, jusqu’à l’époque actuelle, l’homme a continué sa
prédation sans beaucoup de
discernement ; pour devenir prospère ou par simple appât
du gain, il a proposé sans
limitation des produits de luxe, huile des baleines,
ailerons des requins, ivoire des éléphants ou des rhinocéros, sans parler des
excès de l’extraction pétrolière et minière avec ses conséquences inquiétantes
sur le climat, sur l’environnement et sur la survie de tant d’êtres vivants…
dont l’homme lui-même.
· Ceux qui se battent pour
éviter des déséquilibres irréparables de la biosphère ainsi que la disparition
d’espèces, sont dignes de respect.
· Par ailleurs, les diverses
familles de notre civilisation urbaine ont du mal à vivre ensemble :
problèmes de logement, de travail en zones urbaines, de
cohabitation, et autres… Peu à peu, la solitude devient un fléau qui ne cesse de
s’étendre, tant chez les personnes âgées que chez beaucoup d’autres. La
conséquence en est qu’aujourd’hui, on estime presque les animaux de compagnie
comme un membre de la famille. Ne sont-ils pas souvent le seul compagnon du
foyer ?
Voilà qui vient singulièrement compliquer, chez certains,
l’appréciation de la différence entre un homme et un animal.
Est-ce seulement parce que l’on préfère notre chat, plus
facile a éduquer et reconnaissant pour sa ration de «Canicat» ?
Malheureusement non. C’est souvent le seul à qui on parle.
Pour confirmer cette tendance, l’une des industries qui se
développent le plus en volume et financièrement, avec d’excellents résultats
dans tous les pays économiquement développés, est celle du Pet Food (nourriture pour animaux de compagnie).
Savez-vous que les animaux de compagnie créent en France
un chiffre d’affaires supérieur à celui des dons alimentaires pour les plus
démunis ? Étonnant, n’est-ce pas ?
On compte en France 28 millions d’animaux de compagnie,
hors poissons et oiseaux.
· Pourquoi une telle compassion
envers les animaux en général, alors que, sur terre, des centaines de milliers,
voire des millions de personnes, vivent et meurent dans des conditionsindignes
? Est-ce le signe d’une inadaptation de certains au monde moderne ? Le signe d’un
certain pessimisme à l’égard de l’humanité ?
Un désir de trouver refuge dans un style de vie plus
sécurisant par peur d’affronter les réalités inhumaines de notre monde, très
relayées par les médias ?
Les réponses sont multiples et certainement plus
compliquées que ces
quelques interrogations.
Mais…
· Notre compassion doit-elle,
de préférence et en priorité, concerner les animaux ?
Je pense à ce que diraient nos aînés : « Aujourd’hui, nous
marchons sur la tête ».
Une autre époque, certainement …
En déracinant l’homme de sa terre originelle, en créant
les viandes en barquettes et la solitude, notre civilisation a engendré une
compassion pour les animaux de compagnie. Leurs propriétaires sont ainsi
devenus, comme à leur insu, des défenseurs des animaux.
En premier lieu protecteurs de leurs animaux de compagnie,
la plupart des citadins ont étendu leur compassion à une réalité animale qu’ils
ne voient plus, qu’ils ne fréquentent plus et qu’ils ne connaissent plus, mais
qu’ils veulent protéger.
En soi, c’est heureux car, désormais, la nature –dont nous
faisons partie- ne peut survivre que si nous en prenons soin. Mais cette
évolution représente une profonde modification de l’approche et de la sensibilité
de l’homme envers tous les animaux : ce bienfait n’est pourtant pas exempt de
dérives problématiques.
Concluons simplement en affirmant que l’histoire et la
personnalité de chaque personne et de chaque groupe humain sont différentes et
ne le font pas réagir comme les autres.
Le changement très rapide de notre mode de vie a augmenté
le décalage entre le rural et l’urbain, entre la sensibilité de ceux qui
considèrent les animaux presque comme des humains et celle d’autres aux
comportements ruraux qui vivent entourés d’animaux et sont plus en phase avec
leur style de vie. Voilà une vision simple, qui n’est pas très loin de la
vérité.
Est-ce qu’il est raisonnable de s’opposer et que les
anti-corridas en face une guerre ?
VII - LES ANTI
CORRIDA : Leurs actions
Tous les animalistes ne sont pas, fort heureusement, des «
anti-corrida » sectaires, violents et abolitionnistes, je le répète. Une grande
majorité respecte nos cultures taurines et bon nombre d’aficionados ont aussi
des animaux de compagnie. S’il existe plus de 28 millions d’animaux de compagnie
(hors poissons et oiseaux) en France, cela concerne la très grande majorité des
foyers français, toutes catégories confondues.
Il existe plusieurs catégories d’animalistes :
· les animalistes actifs,
oeuvrant au niveau mondial, qui s’occupent de la survie des espèces et de leur
biotope. Félicitons-les.
· Les animalistes qui aiment
les animaux comme chacun d’entre-nous.
· Les animalistes qui
manifestent gentiment et s’expriment dans la rue. Ils pensent à leur chat, leur
chien, et veulent étendre leur protection aux autres animaux.
· Les Végans, qui militent pour
que nous ne mangions plus du tout d’êtres vivants ni n’utilisions aucun produit
animal (lait, oeufs, cuir…). Que nous nous chaussions avec du plastique. Ces illuminés
vivant sur une autre planète sont peu nombreux en France pour l’instant, mais nous
savons que leurs thèses radicales peuvent séduire certaines personnes.
Parfois violents, ils peuvent être dangereux (voir leur
statut aux USA).
· Les « anti-corrida »
animalistes radicaux qui ont un but bien défini : abolir la corrida.
C'est-à-dire prendre la responsabilité d’éradiquer toute
une espèce… pour la protéger ! Mais ces taureaux ne servant que la culture taurine,
plus de corridas, plus de taureaux.
· Les groupuscules violents
devenus « anti-corridas » et qui trouvent là une raison de nuire.
Nous ne parlerons que des 2 derniers, qui manifestent
souvent ensemble, car les autres catégories sont dignes de respect, exceptés
les Végans radicaux.
Tentons d’expliquer les « antis-corrida ». Non pas ce qu’ils
sont en tant que personnes, mais ce qu’ils veulent, leurs actions, la stratégie
de leurs chefs.
Intellectuellement, le mot de « torture », qu’ils
emploient très souvent, est très mal venu dans leur discours, car il lui donne
une connotation malveillante et outrageante. Ils oublient les hommes qui ont
subi la torture et en sont morts. Certains d’entre-nous, Français ou Espagnols,
s’en rappellent encore. Pareille utilisation « commerciale » du mot « torture »
est une insulte profonde à l’homme, à notre culture et à nous-mêmes.
Les « anti-corridas » se disent défenseurs des animaux,
mais ils sont souvent accompagnés par ces groupuscules violents qui manifestent
partout où il peut y avoir de la violence (portiques de la taxe carbone, futur
barrage Sirven, futur aéroport de Nantes…).
Surprenant peut-être, mais vrai. Ces groupuscules de
manifestants violents semi-professionnels font souvent partie des
manifestations dures des « antis ».
Certains animalistes, répétons-le, sont sincères et
participent aux manifestations avec
l’honnêteté de leur conviction. Mais ils sont surtout
utilisés, aujourd’hui, pour faire nombre et acte de présence dans les villes
définies comme non stratégiques par leurs chefs. De fait, ils deviennent ainsi
des otages inconscients de la violence sauvage des anti-corridas radicaux.
La stratégie de leurs chefs est d’adapter le profil des
manifestants au style de l’action à mener, depuis l’action pacifique un peu
bruyante occupant le terrain, jusqu’à la mission de destruction.
Comment ces anti-corridas, d’une mauvaise foi totale,
peuvent-ils défendre l’idée de la souffrance des animaux et en faire un
étendard, tout en commettant des violences sur les personnes et les biens ?
Voici un état (incomplet) de leurs actions remarquables,
dont ils sont fiers mais pour lesquelles des plaintes ont tout de même été
déposées :
- jeter sur un cheval et son cavalier des pots de peinture
rouge. Palavas en mai 2015 ;
- assourdir et peindre (encore) en rouge un avocat
aficionado. Rodilhan 2013 ;
- brûler le véhicule d’un Maire. Céret 2015 ;
- agresser dans la rue un torero en civil. Vauvert 2015 ;
- attaquer un camion de transport de toros pour tenter de
les libérer en zone urbaine. Rion desLandes 2013 - Arles 2015 ;
- détruire ou abîmer des oeuvres d’art en mémoire de
toreros morts devant les toros. Nimes
2013, Millas 2015 ;
- agresser les spectateurs de corridas en les insultant et
leur crachant dessus. Depuis 2011 ;
- détériorer les véhicules ayant un toro en autocollant.
Chaque année depuis 2011 ;
- détériorer les arènes par des tags, serrures cassées,
huile de vidange sur les sièges. Depuis
2010 ;
- envahir une piste d’arène et s’enchaîner pour stopper le
spectacle.
Céret 2009 – Rodilhan 2011 ;
- jeter des clous sur la piste pour nuire aux toreros.
Bouillargues 2014, Châteaurenard 2015 ;
- perturber les spectacles en sautant en piste. 2013, 14,
15 ;
- Perturber la circulation du quartier des arènes avec un
comportement agressif. Alès 2013 ;
11- agresser les employés d’un
hôtel hébergeant des toreros.
Nimes 2015 ;
- provoquer des bagarres et les filmer, se victimisant
eux-mêmes pour attendrir les médias qui diffusent sans état d’âme. Ce sont de
vrais professionnels de la provocation et de la mise en scène. Rodilhan 2011,
Bouillargues 2014 ;
- et tant d’autres.
Ils se comportent réellement comme des terroristes et font
honte à l’ensemble de leurs mouvements. Ce qui ne les empêche pas de se
réclamer, sans vergogne aucune, d’une « démarche citoyenne ».
Le premier et unique exemple de débordement des
aficionados, eut lieu il y a 4 ans, après l’invasion par un groupe d’anti-corrida
du CRAC, des arènes d’un petit village près de Nimes, et leur propre
enchainement au centre de la piste dans l’intention de stopper le spectacle.
Village où le Président du CRAC, M. Garrigues, travaille. Étonnant n’est-ce pas
?
Ils ont été sortis des arènes manu militari. C’était la
première action des « antis » et c’est le seul exemple de réponse du public
aficionado, surpris par cette invasion agressive, imprévue et illicite.
Alès, lieu de résidence de M. Garrigues, est aussi pour
lui un terrain de contestation privilégié.
Arles, Nimes, Céret… le deuxième trimestre 2015 fut le
plus violent que nous ayons connu.
La violence de leurs actions ne cesse d’augmenter d’une
année sur l’autre.
Pourquoi s’obstinent-ils à vouloir imposer violemment
leurs dogmes ?
Ils reproduisent le comportement de personnes ou de
groupes qui se croient supérieurs, détenteurs de la vérité, et qui stigmatisent
les communautés ne leur convenant pas. Depuis très longtemps, juifs, musulmans,
chrétiens, protestants, noirs, pauvres, immigrés, illettrés, handicapés et bien
d’autres en ont été les victimes. Leur doctrine totalitaire et leurs procédés
sont inquiétants. Leur manque de respect envers l’autre est tragique. Honte à
ceux-là.
D’un point de vue juridique et de lobbying, beaucoup de
leurs actions passent pour être financées par les fondations animalistes.
Elles-mêmes très proches des Industries du Pet Food.
Suite à un certain nombre de violences et d’exactions
ayant donné lieu à des plaintes, ils ont été invités à comparaître devant
différents tribunaux : les « antis » ont perdu des procès et aussi pas mal d’argent.
Mais ils continuent. Qui donc les finance ?
Leur stratégie a changé. Seules les manifestations
"gentilles" font l’objet d’une demande en Préfecture au nom de leur
association. Les autres se veulent seulement citoyennes et impersonnelles.
Leurs raids violents et leurs destructions nocturnes relèvent du pur
terrorisme.
L’inscription de la Corrida au PCI
· Faisant feu de tout bois, ils
s’attaquent à des dispositions réglementaires : ils ont réussi à faire désinscrire
la corrida du Patrimoine Culturel Immatériel Français. Ils ont gagné la manche
n°1 en trichant, selon nous. Ils risquent de perdre la manche n° 2, malgré les
articles arrangés, proches du mensonge, qu’ils publient dans les journaux, et
malgré leur lobbying.
Le projet de loi – Interdiction de la corrida aux moins de 16
ans
· Ils veulent interdire l’accès
des arènes aux moins de 16 ans, et font pression sur beaucoup de
politiques ingénus et/ou espérant ainsi gagner des voix.
Alors même que, parallèlement, nous utilisons la
tauromachie pour de la
formation/réinsertion de jeunes en difficulté.
· De plus, jamais aucun
traumatisme psychologique d’enfants n’a été constaté dans nos
régions, où ils vont aux arènes avec quelqu’un de leur
famille qui leur explique, et ils
peuvent en reparler. Aucun traumatisme, c’est même le
contraire qui se produit.
12
· La loi ne peut et ne doit pas
se substituer à l’autorité parentale : c’est un abus de droit flagrant, qui
stigmatise notre rôle de parent et notre culture.
Nous ne pouvons pas accepter que cette loi soit votée.
Les « antis » radicaux souhaiteraient-ils nous dicter nos
passions et maintenant élever nos enfants ! Disons-le une fois de plus, en
abusant des personnes mal informées, qu’elles soient ou non des politiques.
Faut’il en rire ou en pleurer ?
Oui, Ils abusent impunément des personnes de bonne foi,
non informées sur la réalité de la culture taurine… mais ils savent aussi
parfaitement se taire sur la violence de leurs propres actions.
Voilà présentées, succinctement, les caractéristiques des
« anti-corridas » radicaux, qui utilisent le mensonge, la manipulation de l’information
et la dissimulation de leurs méthodes terroristes.
VIII – Synthèse de cette analyse.
· Les différentes tauromachies,
fondement de notre culture, ont plus de 23 000 ans.
· Le toro de combat est un
animal sauvage et violent, qui ne ressent que très peu, voire pas du tout, la
douleur pendant son combat et ne connait pas la souffrance.
· Le toro meurt comme il a
vécu, comme il est depuis toujours, en combattant.
· Oui, la corrida est une
activité culturelle, un vrai spectacle culturel vivant. C’est un rituel qui évoque
une cérémonie sacrificielle, dans un combat à mort entre l’homme et le toro.
· Le toro de combat est adulé
par tout le peuple taurin.
· Il est élevé avec attention,
respect, pendant plus de 4 ans, selon une charte éthique stricte, adoptée par
tous les éleveurs français. Peu d’animaux sont aussi bien traités.
· Nous comprenons et partageons
le comportement des « animalistes ».
· Les « Anti-Corrida » radicaux
et obtus, cherchent trop souvent la violence.
· Notre légitimité est
illégalement contestée par des personnes, fussent-elles des responsables politiques,
qui ignorent malheureusement la réalité et la vérité de la corrida.
· L’implantation de nos
cultures taurines n’est pas, comme certains pourraient le croire, un simple
amusement du dimanche ou une simple animation festive pendant les férias de toutes
nos villes taurines. C’est une culture dont l’abolition n’est pas envisageable.
Plus de 2 millions de personnes vont assister à des
corridas dans nos régions.
· C’est aussi une véritable et
importante source d’activités culturelles et artistiques, dont la production
dépasse largement nos frontières du Sud. Plus de 1 000 associations la font
vivre.
· Elle est aussi un vrai lien
social entre tous ses adeptes, elle vit toute l’année et fait partie intégrante
de toutes les animations culturelles des villes du Sud et de ses 12
départements taurins.
· Elle existe de façon pérenne
et fait partie, dans nos mairies, de la compétence de l’adjoint à la culture
et/ou à la Tauromachie.
· La culture taurine est une de
celles qui ont la plus grande richesse d’expressions. Elle est une source
intarissable pour la créativité.
Au-delà de la passion taurine de son public, elle est
aussi, et en conséquence, une véritable économie installée depuis longtemps et
créant de la richesse.
13
Voici résumé en 5 lignes l’opinion du peuple taurin :
· Nous n’avons pas inventé la Culture Taurine, mais elle fait partie
de nos racines profondes.
· Oui aux animalistes. Non aux « anti corridas » radicaux, obtus et
violents
· La situation actuelle faite de perturbations et de violence ne
pourra pas durer.
· l’incompréhension actuelle, au plus haut niveau, des enjeux nous
semble grave et
dangereuse.
· L’abolition de la corrida, ne pourrait être sans conséquences.
· Pour illustrer le
comportement des aficionados voici la réponse, caricaturale certes mais tout de
même représentative, d’un Commandant de Gendarmerie, très souvent dans la surveillance
de grands spectacles populaires. Il est interrogé par un Psychiatre sur le comportement
des publics.
« Dans un match de foot, si chaque spectateurs a
une arme, il n’y a pas de survivant à la fin. »
« Dans un match de rugby, il y a quelques baffes
pendant et une 3ème mi-temps fraternelle après ».
« La corrida est le plus tranquille de tous les
rassemblements, aucun incident, ce sont des pacifiques ».
·
· Découvrez les noms de
quelques personnes inconnues, incultes et insensibles, mais qui estiment
pourtant que la tauromachie est un art : Pablo
Picasso, Manet, Delacroix, Goya, Salvador Dali, Ernest
Hemingway, Jean Cocteau, Théophile Gautier, F. Garcia Lorca, José Bergamin, Pablo Neruda, Orson Wels.
·
Pour ceux qui souhaitent aller plus loin dans la
compréhension de ces cultures, il existe une très importante production
culturelle taurine : littérature, philosophie, musique, poésie, danse,
peinture, sculpture, opéra, théâtre, cinéma, et autres. Sans parler des
innombrables livres didactiques.
Alain Gaido
Septembre 2015
L’histoire de l’origine de toutes les
tauromachies
« Tauromachies Universelles »
Réalisée par l’ONCT et produite par l’UVTF
sera publiée