Plus j'écris, plus il m'est pénible d'écrire. Moins j'écris, plus il m'est pénible de vivre.
Nada
Ou comment l'aficion à l'écriture de la lumière, à la littérature et à la tauromachie peuvent essayer de se côtoyer pour potentialiser le plaisir d'en partager les attraits. C'est pompeux ? Tant pis, pour l'instant j'ai pas mieux...
3 commentaires:
Plus je lis, plus il m'est bonheur de lire. Moins je lis, plus je trouve la vie insipide.
Todo
Nada au nom si éloquent, signe et résume le ras-le bol, une grosse fatigue exprimés dans la phrase.
C'est si vrai!
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