Hay que picar
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Vengo comprobando últimamente que hasta en las plazas repletas de
aficionados, no digamos en las otras, cuando llega el tercio de varas, lo
que se ...
Il y a 18 heures
Ou comment l'aficion à l'écriture de la lumière, à la littérature et à la tauromachie peuvent essayer de se côtoyer pour potentialiser le plaisir d'en partager les attraits. C'est pompeux ? Tant pis, pour l'instant j'ai pas mieux...
6 commentaires:
quelle horreur ce mec!
Ce "mec" montre ses blessures comme autant de souvenirs-trophées qui ne vont pas sur une étagère et il en est fièrement attristé comme les anciens combattants évoquant de manière obsessionnelles leurs campagnes. En plus, ia a des auditeurs attentifs et curieux, ce qui est rare.
Gina
qu'est-ce qui est horrible ? Ses cicatroces ? Son maillot ? Son toreo ?
tout, marcos, tout!
on peut quand même lui reconnaître de peser sur le toro, chulo, no ?
sur les cornes oui. marketing de la blessure. absolument anti taurin!
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