« À chaque fois que je vois un premier roman dédié à une épouse (ou un mari), je souris et je pense : il y a une personne qui sait. Ecrire est un boulot solitaire. Avoir quelqu’un qui croit en vous fait une sacrée différence. »
Stephen King
6 commentaires:
Je crois en toi !!! Ton amoureuse...
Ooooââaaaah trop choupinette...
p'tain merde... je cherche les cœurs, les bisous et tout le toutim de snapchat pour que les gens me trouvent cucul la praline - les méchants - mais y'a rien ici... attends voir, comment elle fait ma fille déjà...?
<3 Ah voilà, c'est ça...
Bon, maintenant, mieux vaut croire à un aimable divertissement provincial qu'au prix Goncourt, hein...
Bon les gens, 'scusez-nous pour cet intermède intime et Ô combien ridicule pour vous... ça se reproduira le moins possible... (mais bon, elle est jeune et vive... si je réponds pas, je suis à la soupe claire pendant une semaine, après...)
c'est mignon!
l'écrivain a besoin du regard des autres, lui plus que d'autres, à condition qu'il comprenne la bienveillance du regard qui veut l'aider à s'améliorer et à réussir. Nombreux sont les écrivains qui se fiaient à leur femme quand elle n'hésitait pas à déchirer des pages entières...
Effectivement. Il a besoin du regard des autres et de leur reconnaissance (ou leur réprobation). Mais son travail de création est solitaire et reste dans son jardin secret jusqu'à "l'accouchement" .... Faut-il se fier à d'autres ? fussent-elles leur femme, amante ou muse ?
Comme souvent, cela dépend de l'écrivain, de son assurance et confiance en soi ou de ses inquiétudes ...
Il faut surtout se méfier des veuves.
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