vendredi 10 décembre 2010

S'effacer...

Deux heures du matin, trois pages écrites. Trois pages que dans mon brouillard d'épuisement, je juge réussies. Je suis content d'écrire en titre : ''Voyage au campo 10 et fin''. Trois pages qui terminent en beauté le feuilleton autocariste extremadurien. Je me suis souvenu d'une chouette histoire pour la fin, une histoire de complicité spontanée entre un homme et une femme, et je pense l'avoir racontée, comment dire, de la façon qui vous plait. Deux heures cinq, je cherche mon texte partout dans l'ordi. Dans le presse-papier, dans... enfin partout. Plus aucune trace. Sur quelle touche ai-je appuyé dans ma somnolence ? Et puis je me rends compte que j'ai écrit sur une pièce jointe non enregistrée... Donc ce matin rien à se mettre sous la dent, messieurs-dames. Faudra attendre, mais ce sera plus court, avec des oublis, car je n'ai plus le temps. Le compte à rebours a commencé, je m'envole bientôt.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Oh merde ! J'imagine votre déception.
J'aimais beaucoup cette relation de voyage, même si je ne suis pas un adepte du car. C'était écrit, comme souvent, avec simplicité, générosité et gentillesse. Ne vous en faites pas : vos "lecteurs" sauront bien s'inventer ce que vous aviez écrit.
Vous volez... ? Ah bon ? Je ne dois pas avoir tout suivi... Bon vol alors !
Cordialement
JLB