Je trouve le silence très cinégénique. Le silence est subversif par excellence. Tous les gouvernements le tiennent en horreur car c'est une arme de résistance. Dans la poésie, il a un rôle fondamental de respiration. Nombreux sont ceux que le silence intimide car ils se sentent déstabilisés, dépossédés de leur identité. Regardez les films grand public de l'industrie du cinéma où l'on rêve d'un seul instant de silence et dans lesquels, après le mot "FIN", on se rend compte que rien n'a été dit, qu'aucune matière à réflexion n'a été donnée au spectateur. Le silence permet de s'interroger mais ne met pas à l'aise.
Elia Suleiman cinéaste (à propos du film "Le temps qu'il reste"
Javi Silva, le vacher de "sobresaliente"
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Quelle surprise pour le *Mayoral Torrito* en arrivant dans le patio de
caballos, avant la novillada de *Benamocarra*, de retrouver le vaquero et
casero ...
Il y a 1 jour
3 commentaires:
Ce blog était donc subversif tout l'été...
ludo je t'ai répondu là où tu avais déposé : comments des RIP...
"dans la poésie il a un rôle fondamental de respiration" et dans la musique, donc !
De plus qui n'a jamais rêvé que Padilla ferme enfin sa gueule ? mmm ?
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