J'ai fait un rêve, Simon Casas Grand Manitou adoubé de Las Ventas, ange créatif diabolique, se rabibochait soudain avec l'aficion Nîmoise grâce à une idée géniale : il composait les cartels des Vendanges nimoîses à l'ancienne ( un mot qu'il doit détester, j'imagine...) avec des toros âgés, bien armés et aussi faits que des camemberts puants (les soldés que seuls les vrais amateurs de fromage achètent) c'est à dire avec les sobreros de Madrid ! J'ai bon espoir qu'on lui fasse lire ce post et que l'idée lui trotte dans la tête un jour... Ou comment enfin justifier un peu ce qu'il nous vend depuis des lustres : Nîmes la "Madrid" française. Chiche, senor Casas.
22 commentaires:
Cela dit si j'ai bien tout compris, ce sera un petit vizir, un manitou de second plan, genre chef des balayeurs.
non je crois que c'est lui le patron au contraire...
ben, tu vois, je ne pense vraiment pas comme toi marcos! wait and see! reste qu'au plan dees marchés publics, ça parait depuis le début très "just", a ne pas confondre avec "juste", d'où maintenant, le trouble de la cam!hummmm on est en plein dans les magouilles comme on les aime!et la corrida là dedans? surtout à madrid!
D'après un des blogs taurins tras los montes Marc aurait raison : au cours de la conférence de presse, dès que Casas a répondu à la première question qui lui était adressée il s'est approprié définitivemet la parole, les autres protagonistes ne pipant plus mot. Si ça n'est pas prendre la direction des opérations ....
pas compris chulo le "trouble de la cam" ? Que es ?
Pour qui connaît le tempérament de conquistador de Casas, s'associer pour être subalterne n'est pas crédible... chef de lidia o nada... et comme en com il enterre tous ses semblables suscitant même l'admiration de ceux qu'il mouche... toujours heureux de s'être fait toréer par la bas avec tant de talent... !
Vous en aurez peut-être un jour la preuve télévisuelle : si vous me voyez au callejon de Madrid un jour de retransmission vous saurez alors de manière irréfutable que Casas est bien le patron !!!! ;-)
je serais alors officiellement grillé sur la bloggosphère !!!! ;-)
La réponse est d'ailleurs inscrite dans le sourire de carnassier satisfait opportunément jointe dans le post de marc...
cam, communidad autonoma de madrid, gouvernée par l'idole pp de dede la ruisselante esperanza aguirre
On dira ce que l'on voudra mais à l'époque où je ne connaissais rien aux rivalités du Mundillo, à qui était le copain de qui et qui était l'ennemi du vilain qui, eh bien c'est Simon Casas, avec Pierre Albaladejo, qui m'a donné l'amour de la course et m'a appris 90 pour cent de ce que je sais aujourd'hui sur les règles de la corrida. Mais je parle de cela il y a vingt ans. J'ai bien compris qu'aujourd'hui, bien des choses avaient changées dans la façon de se comporter du bonhomme.
Esperanza Aguirre femme fontaine ???
Pas compris ton adjectif sur E. Aguirre Chulo .... rutiliante ? sémillante, débordante de (?), chi ...te ?
Le détour onirique accompagné de S. Casas en chanteur de charme produira-t-il un miracle ?
Personnellement ce sont les récentes photos coiffant les textes qui m’interpellent. Elles sont très très belles.
Gina
magnifique photo, qui résume bien l'état de la corrida.
Eh bien là, tout de suite, ça n'a rien à voir, mais une grosse crise de mélancolie depuis que j'ai appris la mort de Diego Puerta.
Plutôt un style vieux beau avec guiche gominée ...
Arènes flottantes pour toros nageurs et torero en maillot de bain .... Arena ?
Et le public, il flotte sur des sièges gonflables?
Moi j'arriverai même pas à être empresa de ces arènes flottantes : bravo Casas, pour las ventas !
Condamné par un tribunal à payer 15000 euros pour avoir critiqué son employeur sur internet et avoir ainsi porté atteinte à sa réputation et à son "image". Boudiou !
J'ai pas la conscience tranquille.
Alors je m'arrache et me mets en cavale, je vais créer mon propre blog sur une île déserte, je n'en donnerai les coordonnées à personne et comme on ne me trouvera pas et donc on ne me lira pas, on ne me poursuivra pas en justice.
Adieu blogs ingrats !
JLB (masqué comme le concombre)
JLB, c'est ça la solution : on appelait ça autrefois "journal intime" , on le rangeait dans un tiroir fermé à clé, et on ne le publiait que post mortem (et ça évitait d'aller sur l'île déserte où, globalement au bout d'un an ou deux, voire avant,on doit être en état de manque)
Je comprends que "l'île flottante" ait donné à JLB des idées utopiques de Robinsonade - jusqu'à vendredi prochain !
Gina
JLB parle de conscience pas tranquille ; normal, sommes tous suspects.
Les secrets de journaux intimes (heureusement) existent encore Pedroplan. Malgré internet et autres réseaux sociaux.
Angerona
Ah oui, je sais q'il existe le secret du journal intime, Angerona. il suffit de savoir résister à la tentation de le publier dans Midi Libre (ou tout autre journal)
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