mardi 13 décembre 2011

SCOOP

Bonne nouvelle. Au mois de janvier, là, bientôt, trop tard pour votre cadeau de Noël donc, devrait paraître toujours chez Verdier, le prochain ''must have'' littéraro-taurin de votre bibliothèque : le troisième livre "ineludible" d'Alain Montcouquiol. Ah bon, vous saviez déjà ? Quittant les terres de l'autobiographie il s'aventurerait pour la première fois, sur les terres de la fiction avec un recueil de trois nouvelles. Je me ferais un plaisir de vous dire ce qu'il m'a suggéré.


"Terribilifique" portrait de l'auteur par François Bruschet, piqué sur le net chez Camposyruedos.

9 commentaires:

el Chulo a dit…

je le lirai aussi.

Maja Lola a dit…

Sans nul doute pour ma part aussi, Chulo.
Comme tout ce que répand la plume rare, discrète et profonde de cet écrivain.

Anonyme a dit…

Un écrivain peut-il quitter les terres de l'autobiographie ?

Gina

Marc Delon a dit…

et nager jusqu'à une île de la fiction ?

el Chulo a dit…

c'est tout l'enjeu gina!
dans le cas précis, j'espère que oui.
bien que, finalement tout écrivain ne parle que de lui.

Anonyme a dit…

Sur sa terre ou sur une île lointaine, c'est toujours lui-même qu'il déplace, même carcasse, même cerveau, même sensibilité.

Gina

Marc Delon a dit…

C'est quoi "l'autobiographie" : raconter sa vie ou mettre dans ses récits au travers du style et de la sensibilité beaucoup de soi ?

Maja Lola a dit…

Les deux analyses sont possibles ... bien que raconter sa vie me semble un exercice assez basique. Je pencherais sans hésiter pour la seconde analyse car elle offre beaucoup plus de richesse créative et émotionnelle tout en gardant la trame conductrice.

Anonyme a dit…

Ce que je voulais dire c'est qu'on reconnaît la marque de quelqu'un indépendamment de sa volonté : quand on lit du M. Delon, on sait que ce n'est pas Chulo. De même que Vinci n'aurait pas peint des pommes comme Cézanne.

Gina