Non, elle serait trop facile, celle-là, vous faire le coup de la centrifugeuse, vous écrire que les Uruguayens manquèrent de jus face à l’orange. Ce serait vulgaire, facile, populiste… et alors ? On n’est pas au Fouquet’s, ici… en train de siroter un thé exotique des îles tièdes à la Bergamote et aux pistils de Jasmin entre nanas, pour la modique somme de … combien… ? Vingt euros le thé ? Au moins… et je suis peut-être rat… C’est bien simple il n’y a que des footballeurs en terrasse. Y’a des pistils, dans le Jasmin ? Oui, sûrement… C’est cher le pistil, dans son ensemble… regardez le safran.
On n’a pas pu s’empêcher de penser avant-hier soir, voyant le parcours de la petite équipe Sud-Américaine des Bleus clair, que si notre équipe de Bleus froncés n’avait pas été exclusivement composée de pieds nickelés escagassés des circonvolutions cérébrales plus occupés à se suicider en se jetant du haut de leur ego, elle se serait assez facilement retrouvée en finale : quelle autostrasse elle avait devant elle ! Vous remarquerez l’emploi de la langue de Goethe… Quant à la défense hollandaise, elle est bien plus trouée que le Gouda, je parie qu’on s’en apercevra en finale.
Olé ! Hurle toute la péninsule… Le laminoir teuton a lamentablement buggé sur la maîtrise technique ibère qui hacha menu le moindre des ballons au milieu du terrain, réduisant l’Arien à n’être bon qu’à… pas grand-chose, arpentant désoeuvré le rectangle vert, langue pendante de cette perpétuelle quête d’un ballon qui se dérobait comme par magie. De quoi criser pour le teuton moyen, à qui il faut de l’opposition simple, franche et directe, de grands gaillards britanniques ou bataves avec qui se mesurer musculairement, d’épaule à épaule mais cette armée de fourmis chipoteuses à la technique infaillible qui les ont fait tourner en bourrique, ach…nein danke ! Das ist nicht Hurra fussball ! Nicht gut !
Gut, gut… Ca me rappelle ce pépé aigues-mortais, monsieur Goutte, qui s’était pris une gamelle en vélo sur la route de la tour Carbonière, vous savez, en allant sur Saint-laurent d’Aigouze. Eh ben arrive une bagnole remplie de touristes allemands qui s’arrêtent pour lui porter secours. Ils s’approchent précautionneusement de la roubine d’où émerge papi Goutte qui ouvre un œil et entend :
- Gut ? Das ist gut ? Gut ?
Et là, le papi lui fait :
- Et Hiare…, Vous me connaissez ?
Mais c’est pas grave si ça ne vous a pas fait rire. Bon, je crois que pour ce coup de vuvuzela-là, ce sera tout… Ah si peut-être, mon petit pronostic pour la finale : il me semble que l'Espagne devrait franchir le cap grâce à son jeu tout en saveurs qui tient fermement le gouvernail immergé vers la gagne, le safran, quoi.
On n’a pas pu s’empêcher de penser avant-hier soir, voyant le parcours de la petite équipe Sud-Américaine des Bleus clair, que si notre équipe de Bleus froncés n’avait pas été exclusivement composée de pieds nickelés escagassés des circonvolutions cérébrales plus occupés à se suicider en se jetant du haut de leur ego, elle se serait assez facilement retrouvée en finale : quelle autostrasse elle avait devant elle ! Vous remarquerez l’emploi de la langue de Goethe… Quant à la défense hollandaise, elle est bien plus trouée que le Gouda, je parie qu’on s’en apercevra en finale.
Olé ! Hurle toute la péninsule… Le laminoir teuton a lamentablement buggé sur la maîtrise technique ibère qui hacha menu le moindre des ballons au milieu du terrain, réduisant l’Arien à n’être bon qu’à… pas grand-chose, arpentant désoeuvré le rectangle vert, langue pendante de cette perpétuelle quête d’un ballon qui se dérobait comme par magie. De quoi criser pour le teuton moyen, à qui il faut de l’opposition simple, franche et directe, de grands gaillards britanniques ou bataves avec qui se mesurer musculairement, d’épaule à épaule mais cette armée de fourmis chipoteuses à la technique infaillible qui les ont fait tourner en bourrique, ach…nein danke ! Das ist nicht Hurra fussball ! Nicht gut !
Gut, gut… Ca me rappelle ce pépé aigues-mortais, monsieur Goutte, qui s’était pris une gamelle en vélo sur la route de la tour Carbonière, vous savez, en allant sur Saint-laurent d’Aigouze. Eh ben arrive une bagnole remplie de touristes allemands qui s’arrêtent pour lui porter secours. Ils s’approchent précautionneusement de la roubine d’où émerge papi Goutte qui ouvre un œil et entend :
- Gut ? Das ist gut ? Gut ?
Et là, le papi lui fait :
- Et Hiare…, Vous me connaissez ?
Mais c’est pas grave si ça ne vous a pas fait rire. Bon, je crois que pour ce coup de vuvuzela-là, ce sera tout… Ah si peut-être, mon petit pronostic pour la finale : il me semble que l'Espagne devrait franchir le cap grâce à son jeu tout en saveurs qui tient fermement le gouvernail immergé vers la gagne, le safran, quoi.
2 commentaires:
plus troué que le gouda c'est pas difficile, yen a pas des trous dans le gouda.C'est dans le maasdam qu'il y a des trous.
isa
Oui mais gruyère ça faisait Suisse et Mââââaaaassssdam personne connait à part des isa trés cultivées (...et qui peut-être abusent un peu sur le fromton...)
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