Voyons… fâché avec les catholiques, bon, ça, c’est fait…
Alors que pourrais-je bien vous raconter ? Oui : à force d’emmerder tout le monde, le président Ahmadinejab s’est vu infecté dans sa plus intime conviction, une centrale nucléaire, par une mega-chtouille résistante aux antibiotiques. Un maliciel. De ceux qui hennissent de plaisir en contournant les anti-virus et autres firewalls, un fameux cheval de Troie sauteur d’obstacles, capable aussi de se couler dans les interstices, tout en donnant l’impression de sa docilité alors qu’il n’est qu’un cheval fou désarçonnant tout le système dans lequel il galope haine au vent et nuisance abattue, bavassant dans tous les fichiers.
On ne sait encore qui le monte, mais la complexité de la charge du canasson laisserait les experts perplexes alors qu’ils avaient décodé le mauvais goût du mordant de ‘’Pirata’’ en moins de temps qu’il n’en faut à un sabot de mule pour décalquer son empreinte dans le grill costal d’un vétérinaire en plein toucher rectal. Il faut dire là, que nous devons à la véracité de la médecine vétérinaire, qu’un toucher rectal de mule s’investit jusqu’à l’aisselle…
Un cheval de Troie mahousse-costaud, appât looser à tiroirs, Apaloosa à entrées multiples et rattrapage automatique d’impasses où ne pas se fourvoyer, enfin, cessons de faire semblant d’être un expert informatique, c’est une infection très élaborée, un plan de guerre informatique autrement plus sophistiqué qu’une inflation turgescente à la Dati. C’est vrai qu’elle est mignonne Rachida… mais à quoi donc devait-elle penser pour que sa langue fourche ainsi ? Venait-elle d’officier ? L’avait-elle en projet ? Déjà qu’on a pas pu savoir qui était le père… enfin à Paris, hein, ils le savent, mais oui… tous les journaleux le savent, mais bien sûr… mais ils ne le salivent pas, c’est comme ça… Remarquez, vu qu’on s’en fout… Enfin ce qui est sûr, c’est que moi qui vous parle, à une femme qui a les dents longues comme ça, je ne confierai rien d’irremplaçable ! Oh quenottes !
En tauromachie, un maliciel, ça correspondrait un peu à un don d’oreille indue. Le public c’est le chœur réactif à l’uranium certes appauvri depuis qu’il a acheté son abono, et le trophée, le cheval de Troie. Il n’y a en effet, pas plus pervers qu’une attribution de trophée indue sur l’entendement des gens à la chose. Tenez, regardez par exemple l’attribution du prix Hemingway à Zocato alors que j’avais commis une si…. Oh ça va, je décooooooonne… c’est pour rire les zamis… j’en ai fait mon deuil vous savez… oh si… ayé, j’ai compris… vu les pointures qui participent maintenant et mon réassort qui n’arrive plus au rayon ‘’imagination’’… Il vaut mieux de toute façon, sinon ça allait virer au pathétique de la condition du sobresaliente, cette histoire. Moi, le langage soutenu c’est pas mon truc, ça m’emmerde, je suis bien ici, libre et déconneur. Mon truc à moi, c’est pas la grande œuvre magistrale et solennelle, non, c’est deux Kikiriki, un quiebro et une espantada vers la barricade.
Dire, qu’il y a un ''GRANTECRIVAIN’’ qui écrit au Diable une lettre indignée à chaque fois qu’il perd, c'est-à-dire à chaque édition, puisqu’il n’a jamais gagné. (lisez maintenant la suite à la façon de Guy Bedos version 1970 svp : ) C’est fou non ? Y’a un mec en liberté, espérant passer pour sain d’esprit, qui s’insurge du scandale de n’avoir pas été choisi ! Eh… Oh… Dieu de la prose, descends un peu de ton nuage, pète un coup, lâche un peu de pression égotique, brise les miroirs alentour et arrête de te toucher le Kirikiki : c’est pas poli, ce que tu fais ! Et complètement con, en plus ! Tu voulais asséner ton talent, tu as réussi à prouver ta connerie ! Meuh dis donc, ça va pas la tête ? Ca rend fou ces prix, comme les trophées en corrida, ça devrait être interdit… Si jamais une année il gagne… il est définitivement perdu… Bon, enfin, on va arrêter là ce topo sur les maladies mentales, déjà que les cathos m’ont excommunié et que Raticha m’envoie les gendarmes…
Au fait, qui est ce maliciel gueulard, ce démago pousse-au-crime, ce pseudo justicier de nos deux, cet assassin en puissance qui meugle à chaque mano à mano le signal de la curée à la meute des bovins encornés farcisseurs ? C’est une complainte qui résonne dans les arches du vieil amphithéâtre, ça fait comme ça :
Morenitooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo… !
Il est fou ce type, il va avoir sa mort sur la conscience. C’est un si gentil garçon Morenito, personne ne devrait s’épanouir ainsi à vouloir le mettre en danger. Moi je dis, quand même, que se mettre en danger, ça c’est torero ! Vaya, la irania… !
Alors que pourrais-je bien vous raconter ? Oui : à force d’emmerder tout le monde, le président Ahmadinejab s’est vu infecté dans sa plus intime conviction, une centrale nucléaire, par une mega-chtouille résistante aux antibiotiques. Un maliciel. De ceux qui hennissent de plaisir en contournant les anti-virus et autres firewalls, un fameux cheval de Troie sauteur d’obstacles, capable aussi de se couler dans les interstices, tout en donnant l’impression de sa docilité alors qu’il n’est qu’un cheval fou désarçonnant tout le système dans lequel il galope haine au vent et nuisance abattue, bavassant dans tous les fichiers.
On ne sait encore qui le monte, mais la complexité de la charge du canasson laisserait les experts perplexes alors qu’ils avaient décodé le mauvais goût du mordant de ‘’Pirata’’ en moins de temps qu’il n’en faut à un sabot de mule pour décalquer son empreinte dans le grill costal d’un vétérinaire en plein toucher rectal. Il faut dire là, que nous devons à la véracité de la médecine vétérinaire, qu’un toucher rectal de mule s’investit jusqu’à l’aisselle…
Un cheval de Troie mahousse-costaud, appât looser à tiroirs, Apaloosa à entrées multiples et rattrapage automatique d’impasses où ne pas se fourvoyer, enfin, cessons de faire semblant d’être un expert informatique, c’est une infection très élaborée, un plan de guerre informatique autrement plus sophistiqué qu’une inflation turgescente à la Dati. C’est vrai qu’elle est mignonne Rachida… mais à quoi donc devait-elle penser pour que sa langue fourche ainsi ? Venait-elle d’officier ? L’avait-elle en projet ? Déjà qu’on a pas pu savoir qui était le père… enfin à Paris, hein, ils le savent, mais oui… tous les journaleux le savent, mais bien sûr… mais ils ne le salivent pas, c’est comme ça… Remarquez, vu qu’on s’en fout… Enfin ce qui est sûr, c’est que moi qui vous parle, à une femme qui a les dents longues comme ça, je ne confierai rien d’irremplaçable ! Oh quenottes !
En tauromachie, un maliciel, ça correspondrait un peu à un don d’oreille indue. Le public c’est le chœur réactif à l’uranium certes appauvri depuis qu’il a acheté son abono, et le trophée, le cheval de Troie. Il n’y a en effet, pas plus pervers qu’une attribution de trophée indue sur l’entendement des gens à la chose. Tenez, regardez par exemple l’attribution du prix Hemingway à Zocato alors que j’avais commis une si…. Oh ça va, je décooooooonne… c’est pour rire les zamis… j’en ai fait mon deuil vous savez… oh si… ayé, j’ai compris… vu les pointures qui participent maintenant et mon réassort qui n’arrive plus au rayon ‘’imagination’’… Il vaut mieux de toute façon, sinon ça allait virer au pathétique de la condition du sobresaliente, cette histoire. Moi, le langage soutenu c’est pas mon truc, ça m’emmerde, je suis bien ici, libre et déconneur. Mon truc à moi, c’est pas la grande œuvre magistrale et solennelle, non, c’est deux Kikiriki, un quiebro et une espantada vers la barricade.
Dire, qu’il y a un ''GRANTECRIVAIN’’ qui écrit au Diable une lettre indignée à chaque fois qu’il perd, c'est-à-dire à chaque édition, puisqu’il n’a jamais gagné. (lisez maintenant la suite à la façon de Guy Bedos version 1970 svp : ) C’est fou non ? Y’a un mec en liberté, espérant passer pour sain d’esprit, qui s’insurge du scandale de n’avoir pas été choisi ! Eh… Oh… Dieu de la prose, descends un peu de ton nuage, pète un coup, lâche un peu de pression égotique, brise les miroirs alentour et arrête de te toucher le Kirikiki : c’est pas poli, ce que tu fais ! Et complètement con, en plus ! Tu voulais asséner ton talent, tu as réussi à prouver ta connerie ! Meuh dis donc, ça va pas la tête ? Ca rend fou ces prix, comme les trophées en corrida, ça devrait être interdit… Si jamais une année il gagne… il est définitivement perdu… Bon, enfin, on va arrêter là ce topo sur les maladies mentales, déjà que les cathos m’ont excommunié et que Raticha m’envoie les gendarmes…
Au fait, qui est ce maliciel gueulard, ce démago pousse-au-crime, ce pseudo justicier de nos deux, cet assassin en puissance qui meugle à chaque mano à mano le signal de la curée à la meute des bovins encornés farcisseurs ? C’est une complainte qui résonne dans les arches du vieil amphithéâtre, ça fait comme ça :
Morenitooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo… !
Il est fou ce type, il va avoir sa mort sur la conscience. C’est un si gentil garçon Morenito, personne ne devrait s’épanouir ainsi à vouloir le mettre en danger. Moi je dis, quand même, que se mettre en danger, ça c’est torero ! Vaya, la irania… !
Sauf que la photo de ce doigt d'honneur est truquée, alors que celui que tendent les sobresalientes au sort et à la mort toise une adversité bien réelle.
7 commentaires:
Olé, Marcos !
Ca c'est du bon Delon. Du qui joue avec les mots, dérisionne, caracole, harponne et porte l'estocade l'air de ne pas y toucher mais avec maestria.
Allez ! Arrête de faire le faux modeste. Je suis sûre que l'accouchement de ce texte a rééquilibré tes pressions égotico-mentales.
Gagner le PH. Obsession Delonnienne récurrente et constante.
Quieto, hombre ! Fais-nous de belles passes bien maîtrisées, étonne-nous, surprends-nous. Du temple au bon moment, de la brillance et du panache au détour d'une passe. Asi es.
En tout cas là, tu nous gâtes. Tu nous envoies un beau florilège. Ce n'est plus du maliciel mais du malicieux. Tout y passe. Du cheval de Troie au véto n'hésitant pas à mettre la main (ou le bras) à la pâte, en passant par les dérapages dans la bouche (sans dents) de Rachida .... Au fait, si ça se trouve, c'est toi le père ? Une virée parisienne qui a mal tourné ... Va savoir.
Bref, nous ne valons certainement par le PH, mais les lecteurs de ton blog que nous sommes méritons bien que tu nous abreuves de tes productions. Non ?
"Raticha"... excellent... +1 !
RATICHA... moi aussi, je me roule par terre de rire
tout est bon dans le Delon
jlb
Le probleme de Raticha..cest quand elle joue au bridge, chuloreiller...je passe.
Anne Homad Elon
Eh Marc,
Sur la photo qui illustre ton message, Ahmadi on dirait (presque) le Pape en "papamobile" en train de bénir la foule... Mais après j'ai du mal à imaginer alors une bonne soeur (voilée) lui faisant un doigt d'honneur - même truqué!...
Bonne journée - Bernard
ne t'en fais pas, si le virus est femelle, il sera lapidé!
sinon, d'accord avec Maja, du superbe Delon allumé et inspiré qu'on aime.
des noms, des noms ! pas du père du rachida's boy ( girl ? )mais de l'aigrivain.
c'est pas Vargas Llosa au moins ?
sinon, tu pètes le houec le del's.
c'est bien.
abrazo.
ludo
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