mercredi 17 octobre 2012

La France bat l'Espagne 2 buts à 1

On – c’est moi, ‘’on’’ - a suffisamment vilipendé la bande d’andouilles capricieuses et mal élevées qui jouaient sous les couleurs de tous pour écrire aujourd’hui combien ils nous ont fait plaisir. Pourtant, la première mi-temps était conforme à l’équipe telle qu’elle est depuis cinq ou six ans, morne et désabusée. Mais la deuxième mi-temps a été grandiose de combativité et d’allant et idéalement récompensée pas loin de la dernière seconde de jeu par Giroud qui inscrit là son premier but au combien important pour lui, nous, son équipe, la France. C’était beau, ça rendait heureux et parfaitement que nous avons gagné, parce qu’on nous a refusé un but valide, valable, validable et validationnable, je t’emmerde, je parle au correcteur orthographique, sauf par un teuton halluciné qui voulait se gratter la tempe alors qu’il tenait son drapeau. A la fin du match quand la camera revint sur les commentateurs, le flegmatique Wenger était transporté de joie, Lizarazu souvent justement critique était hilare, le commentateur de la chaîne béat et nous aussi sur le canapé du salon. Parce que putain, depuis qu’on en avait ravalé des couleuvres anacondiques, depuis qu’on attendait un peu d’esprit de corps, de conquête et de beau jeu, du football quoi, depuis qu’on en bavait, avec leur mentalité de merde et leurs magouilles de lascars…

A eux maintenant de se rendre compte qu’il leur serait assez facile de gommer toutes les réserves et de se faire aimer tous tant qu’ils sont et toutes racailles imparfaites de banlieue qu’ils soient ou furent, parce que le jeu toujours trahit l’esprit et qu’hier soir il était excellent. Merci et bravo.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Un modèle de spontanéité !

Anonyme a dit…

Est-ce que quelqu'un peut me dire ce qu'ont parié les deux bimbos des deux pauvres Karabatchic sur ce match ?
JLB