mardi 16 septembre 2014

La Pensée du jour

Pour l'homme, l'état de nature est un état qui n'existe plus, qui n'a peut-être point existé, qui probablement n'existera jamais.
Jean-Jacques Rousseau

8 commentaires:

el Chulo a dit…

oups!!!!!!!!!!!

Marc Delon a dit…

Quoi Chulo ? l'homme est culture puisqu'il ne reste pas tel qu'il naît !
C'est pour ça qu'il aime les toros sauvages incapables d'apprentissages ou de consensus mou... et qu'il faut les manipuler le moins possible...

Marc Delon a dit…

ou qu'il devrait les aimer comme ça...

Anonyme a dit…

Comment aurait-on connu l'état de nature alors qu'on est forcément né en société et qu'on y reste toute sa vie. Rousseau et d'autres n'ont pu faire que des suppositions.
Déjà beau que de temps en temps, souvent à la faveur des vacances, on puisse s'échapper un peu vers un coin sauvage, un bois, une lande, un sommet, un désert où peu de gens se rendent.
Gina

Pedroplan a dit…

Et moi alors, quand j'étais dans ma grotte de la Vallée Française et que je bouffais du mammouth : je n'étais pas à l'état de nature, peut-être ?

Marc Delon a dit…

eh non pedroplanéontologue, pas du tout... si tu bouffais du mammouth c'est que tu avais dû développer un langage avec d'autres pour le chasser, établir tactique et stratégie pour venir à bout d'une telle proie, apprendre à créer et conserver le feu pour mieux digérer, j'en passe et des moins préhistoriques... bref, même rustre, tu ne cessais d'évoluer...

Pedroplan a dit…

Bon, eh bien je note que je suis un rustre qui évolue. D'ailleurs, il y a longtemps que je n'ai pas bouffé une gardiane de mammouth (et ça me manque !)

Marc Delon a dit…

En attendant l'hypothétique trouvaille d'un kilo de mammouth congelé dans le permafrost pour ta gardianne, je te conseille la boucherie Maeva du Cailar où le taureau de Camargue AOC maigre et goûteux se vend à son juste prix soit à la moitié de celui des bouchers des Halles de Nîmes devenues aussi mondaines que les corridas...