lundi 23 avril 2018
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Ou comment l'aficion à l'écriture de la lumière, à la littérature et à la tauromachie peuvent essayer de se côtoyer pour potentialiser le plaisir d'en partager les attraits. C'est pompeux ? Tant pis, pour l'instant j'ai pas mieux...
5 commentaires:
Merci de m'associer à ta peine Marc. Bernard était un être d'une grande culture, entier, battant... et d'une grande humanité. Sa passion pour l'Espagne et ses blessures de guerre civile était immense. Mes gènes ibères lui seront à jamais reconnaissants tant son érudition profondément passionnante m'ont enrichie sur mes propres questionnements. Oui, il nous manquera...
¡Hasta siempre, Chulo!
Chulo disparaît et nous attriste comme si on l'avait physiquement rencontré. Dans ce blog de Marc où il communiquait fidèlement avec aplomb et franchise ses points de vue sur le monde de la politique, de la tauromachie, de l'Espagne, de la littérature en passant par Giono, Steinbeck ou Raymond Carver qu'il m'avait fait connaître et dont il semblait imiter la calme clarté de l 'écriture, il témoignait à Marc, Lola et moi une presque tendre amitié.
Fort simplement, il communiquait aussi par téléphone, ses problèmes personnels. Nous connaissions Mathilde et la Réunion, Françoise, son épouse et un peu sa maman.
Nous savions depuis quelques jours aussi, son courage devant la maladie et son espoir de guérir.
On rêvait de le rencontrer… mais, trop tard ...
Madagascar, plutôt...
Pardon, Marc, c'est une grossière erreur.
Un homme sensible, cultivé et intelligent que je n'ai connu, hélas, qu'à travers son blog. Hasta siempre !
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