jeudi 25 février 2010

La Pensée du Jour


Les femmes pardonnent parfois à celui qui brusque l'occasion mais jamais à celui qui la manque.

Talleyrand

13 commentaires:

Maja Lola a dit…

Oui, je l'avoue, un homme à la volonté déterminée et affirmée, même avec maladresse (tout est une question de doigté et c'est pafois attendrissant) se pardonne.
Quant à celui qui la manque ... "sin comentario", c'est un non-évènement (dure, la loi des femmes)
Maja Lola

Marc Delon a dit…

eh voilà la preuve que le romantisme se trouve chez l'homme !
En effet, en aborder une qui ne comptera pas est facile. Mais ne serait-ce que soutenir le regard de celle dont on est amoureux... c'est à dire de celle qui ne pardonnera pas...
Dura lex sed lex ou Dura sex laisse sex ?

Anonyme a dit…

sans durex point de sexe!
parole de pharmaco.
isa

Anonyme a dit…

Il a entièrement raison Talleyrand, au moins sur le moment.
Après on transporte des souvenirs, et des « si », et des rêves d’occasions manquées à longueur de vie.

Gina

Maja Lola a dit…

Oui, c'est exact. Nous avons toutes dans la tête ces fameux "si" des occasions manquées mais, avec le temps, la vision devient différente. Ne vaut-il pas mieux de regrets que des remords ?
Surtout lorsque le rêve est quotidien et à venir ...
Suivons donc ce chemin avec bonheur !
Maja Lola

Anonyme a dit…

Et quand elles pardonnent peut être pensent- elles que Brassens a 100 fois raison.
Chaque homme devrait avoir les paroles de cette chanson dans un coin de sa tête:

Quatre-vingt-quinze fois sur cent.

La femme qui possède tout en elle
Pour donner le goût des fêtes charnelles
La femme qui suscite en nous tant de passion brutale
La femme est avant tout sentimentale
Mais dans la main les longues promenades
Les fleurs, les billets doux, les sérénades
Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet
La transporte, mais...

{Refrain:}
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou qu'elle le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'œuvre de chair
Elle est souvent triste, peu chère
S'il n'entend le cœur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas

Sauf quand elle aime un homme avec tendresse
Toujours sensible alors à ses caresses
Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir
Ell' s'emmerd' sans s'en apercevoir
Ou quand elle a des besoins tyranniques
Qu'elle souffre de nymphomanie chronique
C'est ell' qui fait alors passer à ses adorateurs
De fichus quarts d'heure

{au Refrain}

Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'ell' crie pour simuler qu'ell' monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux menson(ges)
C'est à seule fin que son partenaire
Se croie un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu

{au Refrain}

J'entends aller de bon train les commentaires
De ceux qui font des châteaux à Cythère
"C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit
Qu'elle conserve toujours son sang-froid"
Peut-être, mais les assauts vous pèsent
De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise
Mesdam's, en vous laissant manger le plaisir sur le dos
Chantez in petto...

isa

Marc Delon a dit…

Isa ou la vie en chanson...

le postulat de BRASSENS concernait les années cinquante ! De nos jours elles ont plus vite fait de changer de partenaire que de s'emmerder !!!

Anonyme a dit…

Bien sur, depuis nous nous sommes libérées...Mais l'avant dernier couplet n'a pas tant vieilli que ça...N'importe quelle femme l'a fait plusieurs fois et le refera...par amour ou pour avoir la paix.
C'est pas du tout rassurant pour les mecs ça...
isa.

Marc Delon a dit…

Ah ça, je ne sais pas... je ne choisis jamais "n'importe quelle femme"

Anonyme a dit…

Disons n'importe quelle femme parmi celles que tu as choisi.Tu comprends très bien ce que je veux dire.
isa

Marc Delon a dit…

Non, je ne comprends pas... je ne suis pas en compétition et je ne pense pas instaurer de tels rapports (psy) qu'il faille s'inventer simulatrice pour que je puisse m'endormir serein... aaah mais, qu'est-ce que c'est que ce blog, bientôt il va falloir se mettre complètement à nu !
PS : puisque tu vas me faire la surprise de passer pourrais-tu m'apporter douze boîtes de Viagra de ton officine stp... ;-) ?

Anonyme a dit…

C'est formidable ce mystère que se gardent les femmes.

Gina

el chulo a dit…

ok isa mais le problème c'est d'être deux et au même moment non?
l'homme sex toy, je n'y ai jamais cru, pas plus que la femme violoncelle, si on excepte les formes généreuses.
il y a autant de conventions ces deux cotés si j'ose dire.