lundi 10 octobre 2011

La Peau des Couilles ?



On clique sur la photo du texte.


J'ai pecho - ouais public, je parle le djeun's - sur le blog d'un jeune type qui pratique la multi-resena éclectique simultanée - ouais...! plus fort que moi, donc - et au milieu de ses impressions de lecture, le compte rendu de corrida le plus savant jamais aperçu... Allez Morphée, rendors-toi... C'est là :


http://morphee.over-blog.net/article-7008037.html




10 commentaires:

El Jipe a dit…

Malheur ! Jacques Durand, Marc Delon, Federico Arnás, rangez vos stylos et vos cameras ! Depuis des années, vous passez à côté de l'essence de la tauromachie que ce jeune homme a su concentrer en l'espace de seulement quelques phrases. Vous êtes des usurpateurs ! Rendez l'argent !

Maja Lola a dit…

Belle panoplie pour nos amis les chasseurs .... j'ai une préférence pour celui à étourneau : on dirait des réglisses Haribo.

En tout cas cela me rappelle une jolie pièce ... L'Appeau du désir. A voir absolument si elle est jouée près de chez vous.

el Chulo a dit…

une touche culturelle ne nuit pas en effet!

Anonyme a dit…

Il manque un pied-de-biche dans ce remarquable attirail.
C'est très intéressant de voir une langue vivre et se transformer à l'usage. C'est ainsi qu'on pose un lapin à qui a essayé de nous mener en bateau !
Gina

el Chulo a dit…

dans presque le même ordre d'idée, si vous visitez foulpointe à madagascar, ne ratez pas le tombeau du docteur couilleaudeau, medecin du roi de france, enterré dans le cimetière des pirates, lieu hautement "fady" que nous avons pu vister forcément accompagné d'un "devin" local, gardien du temple.

Anonyme a dit…

Il faut bien que j'ajoute mon truc, moi, à ces sympathiques joutes linguistiques. Alors je me rappelle un excellent* professeur de lettres, au bahut, qui nous reprenait toujours lorsque l'un de nous utilisait l'expression "il y a (ou il n'y a pas) péril en la demeure". En effet, le mot "demeure" ne désigne pas la maison mais plutôt le fait de rester sur place voire de ne pas changer d'opinion. Cette expression signifierait donc "le fait de rester là est dangereux" (ou, au contraire, le fait de rester là n'est pas dangereux).
Quant aux appeaux, mon percepteur-chasseur me les a fournis : appeau sur les revenus, appeau foncier, appeau d'habitation. Il veut ma peau et il me les casse...
JLB

(Excellent dis-je, cher Chulo, excellent !)

Anonyme a dit…

J'aimerais parler dans ce blog du décès de Christian Baile, qui était l'alguazil de la feria d'août à Carcassonne et qui avait été blessé de manière horrible en 2009 par un novillo de Miura qui avait sauté dans le callejon. Il était l'un des membres-fondateurs de cette feria. Il avait 57 ans. J'imagine que les innombrables opérations qu'il avait subies ont du ruiner sa santé.
Il est presque mort dans l'arène. Mort de sa passion. Tout le monde ne peut pas en dire autant.
Descanse en paz de la celeste dehesa, alguacilillo.
JLB

el Chulo a dit…

merci JLD. je suppose que vous parlez d'un "excellent" professeur de lettres de l'école publique, qui ne serait donc pas un "besogneux". vous voyez bien qu'à bien y réfléchir, il y en a.
s'il s'agit du remarquable "couilleaudeau de la touche", medecin du roi de rfance louis XV, je pense que je vous ferai visiter son cimetière. dios mio! comme disent les ibères pour éviter "me cago"!

Anonyme a dit…

Mais bien sur, Chulo, qu'il y en a et qu'ils furent, sont et peut être seront encore l'honneur de notre société.
J'assume mes excès mais merde, soy del Sur et non pas une endive scandinave !
Tiens, à propos d'endive, on mange quand à Nîchmes ?
JLB

Anonyme a dit…

bordel !
C'est des conneries cette histoire de l'apeeau des couilles
http://www.hoaxbuster.com/hoaxliste/canulars-linguistiques