samedi 8 octobre 2011

La Pensée du jour

Aqui se muere de verdad, no de mentirijillas como en el teatro
Cuchares.

5 commentaires:

Anonyme a dit…

"Las medias negras anuncian luto" dirait une gitane du Sacromonte.

Puisse le rai de lumière de la photo l'aider à revenir ...

Marc Delon a dit…

Quand on voit ce que le rai de lumière frappe on comprend ce que nécessite le toreo...

Anonyme a dit…

Finalement la corrida est une image de la vie. La vie, c'est un théâtre où chacun joue son rôle - ainsi que le dit Shakespeare, mieux que moi -, et puis s'en va vraiment.
Gina

Anonyme a dit…

Ouais, ouais, Gina, je veux bien que nous soyons les acteurs du théâtre de la vie (ou de notre vie) mais quand même... Allez à l'hosto de Saragosse et dites à Padilla qu'il faisait l'acteur devant un animal à cornes avec des batonnets dans les mains. Moi même, à certains moments de ma vie, je n'ai pas du tout eu l'impression de faire l'acteur. J'aurais préféré. Et j'imagine que Marc, lorsqu'il va visiter Fernando et Asuncion, il n'endosse pas un rôle.
Alors bon, Shakespeare, il a perdu contre nous samedi, en plus il a pas été bon, alors il dégage !
JLB

Anonyme a dit…

Mais si, JLB, Shakespeare voyait clair. Puisqu'on n' pas eu le choix de "to be or not to be", il nous faut jusqu'à la fin, avec des rêves et des désillusions... et des joies et des souffrances... continuer à "jouer" (pas en s' amusant) le rôle que notre histoire personnelle nous a imposé en fonction de nos besoins, de nos talents ou du hasard, que l'on soit Padilla, Marc, ou un soldat ou un acteur de théâtre, ou une mère de famille...Tout ça avant de quitter la scène puisque mourir c'est la vie.
Gina