dimanche 13 septembre 2009

TON SUR TON



Le Prieto de la Cal semblait avoir tenté une opération camouflage pour échapper au combat tant la palette nuancée de sa robe reproduisait exactement celle du sable arlésien. C'est lui qui après le MLPDV montra le plus d'alegria à la pique venant de loin et avec envie, plaquant de redoutables "bouchons" dans le peto qui évacuèrent parfois le cavalier de sa monture aussi nettement que se décale la flamme d'une bougie quand on la souffle. Hélas, alors qu'on avait relativement confiance en la personne du président pour "voir" les toros, Garzelli-le-vicois ne permit aucune rencontre à blanc pour juger des limites de la bravoure de chacun. Ou de son caractère illimité justement. Ce qui pour une concours est quand même frustrant.

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