dimanche 17 avril 2011

Enfin baiser gratuit...



Deux oreilles et la queue. Non, rien à voir avec le livre le plus enthousiaste de l'aficion. Ce sont tout d'abord les attributs avec lesquels entendre le discours de Caubère, acteur marathonien, aficionado a los toros à ses heures, y a las putas tambien et ensuite bien sûr, celui par lequel l'hypocrisie n'arrive pas. Pour ceux d'entre-vous, vraisemblablement peu nombreux qui n'en auraient pas déjà pris connaissance sur ''Toros y Putas'', pardon, je me gourre : sur "Campos y Ruedos" veux-je dire... voici l'émouvante et courageuse confidence de cet homme. Oui, c'est courageux dans notre société plus policée que polissonne. C'est là, merci de faire un copier-coller, pour surseoir à un problème de traitement de texte... :


http://www.liberation.fr/societe/01012331686-moi-philippe-caubere-acteur-feministe-marie-et-client-de-prostituees


24 commentaires:

Marc Delon a dit…

Trop drôle : on ne se bouscule plus au commentaire, là...

Anonyme a dit…

Peut-être parce qu'on était à Zaragoza à picoler, déguster des tapas, visiter, faire chauffer la carte bleue au Corte Ingles?
Ah oui, il y avait deux corridas dont une concours aussi...
Peut-être parce qu'on l'a lu cet article et commenté sur Facebook?
Et qu'on l'a trouvé couillu, Caubère!

isa du moun

Marc Delon a dit…

facebook, facebook... le truc où les gogos mettent des photos, des âneries, bref des casseroles qui restent indélébiles toute la vie durant ?

Anonyme a dit…

Et c'est toujours pareil l'état commet toujours les mêmes erreurs et les répète...Une nouvelle loi imbécile qui va pénaliser les handicapés...Parce que dans les hautes sphères ministérielles, on ne s'est jamais demandé comment les handicapés assouvissaient leurs besoins sexuels.Eh bien ils paient!Ce n'est pas parce qu'on est en fauteuil roulant, qu'on ne bande plus.
D'ailleurs dans ce monde d'énarques et de ministres on est totalement déconnecté de la réalité: on ne connait pas le prix du pain, on n'est pas malade, on ne sait pas combien représente le prix d'un plein de carburant..., et surtout on ne va JAMAIS voir une prostituée...on ne fait appel qu'à des call girls ou des escort girls c'est plus chic ,plus cher et mois risqué.
Au lieu de coffrer les proxénètes,on coffre les clients .C'est sur, c'est plus facile et moins dangereux.Un gouvernement de lâches...On pourrait inciter et aider les filles à se regrouper en bordel autogéré, dans des maisons qui leur appartiendraient, ce serait quand même plus humain, plus propre, plus sain. Elles pourraient aller faire des prestations à domicile pour les handicapés justement. Mais non, on va rester dans la plus parfaite hypocrisie des bonnes familles chrétiennes de France. Il en faudra de l'eau bénite pour laver la noirceur et la connerie des gens qui nous gouvernent...
Et la prostitution masculine on n'en parle pas? Ben ,non les femmes ça n'a pas de besoins c'est bien connu.Et les homos? ça n'existe pas.
Mais alors qu'est ce qu'on peut faire pour aider les ados toxicos séropos prostitués qui vont mourir avant 30ans? Rien, on laisse faire la nature...
Priez et dormez braves gens, l'état veille sur vous: il supprime les clients.C'est ce qu'on apprend dans les grandes écoles de commerce : pas de client , pas de business .
isa

Anonyme a dit…

Pour une fois, un homme saisit l'occasion de s'épancher sur sa misère sexuelle. Cela éloigne de l'habituelle victimisation des femmes. Mais son langage est aussi excessif que celui des gens qu'il combat. Etait-il obligé de dénigrer les autres femmes, celles qui ne sont pas des prostituées ; devait-il les accuser, comme sa mère ou la ministre, de puritanisme ou de frigidité ?
Il ramène tout à son sexe-ego-infantile et feint d' ignorer la traite des femmes et le rôle des proxénètes, comme si combattre ce fléau, c'était combattre la sexualité.
Bravo Isa pour ce commentaire
Gina

Marc Delon a dit…

Mesdames, seriez-vous très dérangées par le fait que Caubère vous fait apparaître que, contrairement à ce que vous pensiez, il n'y a pas que les bossus, les paralytiques et les handicapés de la communnication qui visitent ces dames ? Caubère en état de misère sexuelle ? J'en doute...

Anonyme a dit…

Dérangées, pas du tout, Marc. On sait très bien que n'importe quel homme, parmi les plus beaux, les plus aimés, adulés, veut aller voir ailleurs, trouver de l'inédit, du sensationnel ou simplement du différent. Que Caubère soit un insatisfait, inquiet, toujours en état, sinon de manque, mais de recherche sexuelle, d'authenticité, de liberté, c'est vrai aussi. C'est ça, sa misère d'homme.
Gina

Marc Delon a dit…

sa richesse, moi, je dirais, de sa misérable condition d'homme...

Anonyme a dit…

Je suis d'accord. Désirer, c'est vivre.
G

Marc Delon a dit…

On est d'accord ? Ah...merde...c moins drôle...

Anonyme a dit…

Donc, c'est possible même si nos cerveaux ne se situent pas au même endroit !
g

Anonyme a dit…

Bien sûr qu'il n'y a pas que les handicapés et les frustrés du sexe qui sont clients de ces dames. Et ils sont plus nombreux qu'on ne pense les hommes bons pères de famille, bons maris, ou charmants célibataires qui fréquentent les prostituées. Par goût, par plaisir, pour pimenter leur quotidien. Et pourquoi pas ?
Du reste, c'est comme tout : il y en a qui peuvent se payer un bon havane quand d'autres se contentent d'un picaduros.
Quant à l'état et sa recherche compulsive de fric, il ne lui restait plus qu'a pomper le 3ème larron : le client.
Alphonsine de la Boudardière

Marc Delon a dit…

Quoique vous signez maintenant avec "g" ... en référence au point g ?


Ouuuuuuh "Alphonsine" ça sent le vécu (poil au cul bien sûr...)

el chulo a dit…

je me demande si ces dames, surtout gina, probablement influencée par la bovary ou une traviata, ne se font pas une idée un peu transcendée de "l'acte tarifé".
de plus je pense que caubère a accès à une forme de nec plus ultra.
il y a aussi des malheureuses qui font de "l'abattage" sous l'étroite surveillance des macs.
la suppression des bons vieux bordels, contrôlés fut une grande sottise.
pénaliser le client, est une connerie de plus de nos penseurs erratiques, ceux qui veulent à toute force apprendre la démocratie, "leur" démocratie aux oppressés et opprimés.
me cago, on est au point "g" de la connerie.

Anonyme a dit…

"g" erreur d'orthographe, paresse motrice, sentiment d'insignifiance, tout ce qu'on voudra...
GINA de la ..?

Anonyme a dit…

Oh, non, Chulo ! Quand on les voit solitaires au bord des routes, on n'idéalise plus rien, on pense que les lois ne les protègent plus et que leur sort n'ira pas en s'améliorant. Seul, l'Etat s'enrichira.
Gina

Anonyme a dit…

Ah ouais... ? C'est vrai ça, ce qu'il dit Caubère, que des filles invitées à un repas se croient obligées de passer à la casserole pour rembourser ?
P'tin ! je vais en inviter plein !

ZiZou

Marc Delon a dit…

Gina de la gonade ?

ok, je sors....

Anonyme a dit…

Et le "péripapétienne" c'est volontairement à consonance papale?
Gina de la ...dière.

Maja Lola a dit…

Tout à fait d'accord, Gina. J'imagine l'angoisse qu'elles doivent vivre au bord des routes avec tous les risques que cela comporte (hygiène, agressions ...) car toutes n'ont pas les moyens des call-girls, ni peut-être la chance de manger à l'oeil, Zizou.
Finalement, comme dit Chulo, les bordels avaient leurs avantages. Mais est-ce que devenir "salariée" ou "locataire" n'enlève pas un certain charme à la profession ?
Même si j'ai souvenir d'un certain "Menu" très original que XK a mis sur son blog il y quelques temps ...

Marc Delon a dit…

de la renardière ?
de la musardière ?
de la souricière ?
de la ... pétaudière ?
de la derrière ?

Anonyme a dit…

de la jarretière ?
de la muselière ?
de la fourmilière ?
de la canebière ?
du coffre arrière ?

Hortense de la Bière

Anonyme a dit…

Suite et fin :
de la Potinière
de la Tapinière.
de la Bordelière
de la Filletière
De la Guépière à courts jupons.

Marc Delon a dit…

Qui avait dit que les toros, finalement, n'étaient qu'un prétexte pour faire le tour des bordels d'Espagne ?

La castafière...