C'est écrire qui est le véritable plaisir ; être lu n'est qu'un plaisir superficiel.
Virginia Woolf
1882-1941
Ou comment l'aficion à l'écriture de la lumière, à la littérature et à la tauromachie peuvent essayer de se côtoyer pour potentialiser le plaisir d'en partager les attraits. C'est pompeux ? Tant pis, pour l'instant j'ai pas mieux...
4 commentaires:
Ecrire, se retirer dans le silence d’un bureau, se concentrer et se laisser aller à l’usage de ses talents pour recréer un monde sans risquer l’interruption ; espérer se plaire, et plaire, glaner l’admiration et l’amour de lecteurs, peut-on rêver activité plus épanouissante, plaisir plus total et inconditionnel…
Ensuite, le livre appartient au lecteur et à la lecture qu'il en fera. L’écrivain reste conscient que les gloires de ce monde sont passagères , que derrières les lecteurs se cachent parfois des détracteurs, qu’un livre sans lecteurs se réduira peu à peu à des graffiti noirs sur du papier.
Gina
Suis tout à fait d'accord les préliminaires sont plus importantes que les actes.
euh...en l'occurence ça doit plutôt vouloir dire que l'acte est plus important que les "postliminaires"...
non !!!!!!!!!!!!!!! attention aux deductions hatives.
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