Bon alors que faire ces jours-ci ?
Tiens au fait, il y a corrida à Arles cet après-midi. Moi je travaille, mais si vous n'avez pas plus à faire, profitez, il fait beau aujourd'hui. A la sortie, allez donc entendre le premier Slam taurin écrit par jacques olivier Liby et dit par Catherine le Guellaut libraire-écrivain de la rue réattu. C'est à vingt heures à l'auberge espagnole rue du 4 septembre à côté de la boutique des passionnés où il faudra revenir demain 14h30 pour saluer les amis de CyR qui signeront à tour de bras leur numéro "01". je me chargerai des tendinites. Et puis les auteurs du recueil du prix Hemingway y seront aussi. Et la journée taurine a de l'intérêt : rappelez-vous mon impression concernant Juan del Alamo qui est répété le matin. Je suis impatient de le revoir. Et l'après-midi,corrida-concours avec, on l'espère, un ou des exemplaires à remarquer.
Sinon j'ai commandé une vieille revue de 1947 : ''Noir et Blanc'' c'est le titre et il y aurait un reportage consacré à cette question : Pourquoi est mort Manolete ? On va voir si cela nous apporte quelque chose d'intéressant. Il y a des photos mais savoir si ce sont celles de la fameuse course ?
Couteau corne d'Albaserrada
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Après diverses visites à *Mirandilla* en famille, *Dominique Daniel*, déjà
fervent aficionado, s'est converti en véritable connaisseur de la
tauromachi...
Il y a 5 jours
14 commentaires:
Samedi 3 avril à 15 heures. Acheté livre CyR 01. Librairie Teissier. Arrêt des courses dans des rues ventées et tristes. Je me suis empressée de rentrer, mon précieux livre en main. Impatiente, après l'avoir feuilleté pour l'accroche visuelle des photos (très belles), j'ai commencé sa lecture. Comme l'on déguste un bon vin, chaque chapitre donnant une saveur, un Priorato de la Rioja, una Manzanilla ...
J'ai donc décidé de le doser : de m'autoriser à le lire chapitre après chapitre, en freinant mes élans pour mieux le déguster après une attente imposée. Je crois que je n'en apprécierai que mieux ses saveurs.
Maja Lola
Ah oui mais alors là, moi je rebondis, doïiiiing, et je me demande, raccoleur opportuniste, si Maja Lola, en prenant son temps, sans contrainte aucune, lecture digérée, ne nous ferait pas l'amitié de nous rédiger un joli petit compte rendu de derrière ses fagots... ? Mmmmm ? Allez... ça se refuse ça ? Voyons... Un bon mouvement, quoi, Maja Lola...
Ou le Chulo ?
Ou les deux tiens....
Plus y'aura de retour, plus ce sera intéressant pour eux...
Et puis moi je suis leur pote, alors bon je serai forcément trop bienveillant... ça n'aura pas de valeur objective...
Tiens si déjà je leur ai fait une critique cet aprem à la signature, reprise d'un : Ah ouais, c'est vrai ! par tous les copains présents :
Leur mise en page, enfin le design du bouquin : ça ressemble trop à terre taurine !!! Un comble, non ? Vu l'amour qu'ils portent à Dédé...
Sinon moi cet aprem, j'ai acheté forcé que jy étais sous les éloges nourries que m'en faisait jacques Durand, "La Peur Matamore" de Denis Podalydès.
Selon jacques Durand : "peut-être le plus beau texte jamais écrit sur l'aficion"
Et comme on ne peut que faire confiance au maître, j'ai acheté !
Marc, ... un compte-rendu !?
Invitation sympathique de votre part mais qui me met en situation délicate. Non pas que je ne souhaite pas donner mon avis sur ce bouquin, mais je doute de ma capacité à mener à bien une telle mission ... mais si votre indulgence est acquise, pourquoi pas ?
Seul bémol, mon projet de "dégustation" par doses contrôlées demande un peu de temps.
Vamos a ver lo que sale ... !
Qu'en pense El Chulo ?
Maja Lola
Puis-je quémander, Marc, quelques informations sur la rencontre avec "les Hemingway", Olivier Liby et les autres ?
Gina
Le Chulo ne pense pas, il agit ! Il a déjà commencé sa critique s'il le faut... Comme ça nous aurions un retour masculin et un autre féminin.
Quémandez toujours Gina. J'ai bien essayé de suborner un membre du jury qui signait là (A. Martin) mais Natyot était au marquage individuel... J'ai donc fait la connaissance de Nathalie Yot. Antoine m'a confirmé que seule Gina avait aimé le Manolete de Meyjes...
Quant au sieur Liby, (jacques-Olivier) il était en retraite littéraire, parti s'isoler quelque part dans la garrigue avec les 87 nouvelles du prix Hem qu'il va lire de manière anonyme. Peu importe, lui ai-je lancé, fanfaron, tu reconnaitras facilement la mienne... c'est la meilleure !
Non, parce que si on peut pas fanfaronner AVANT l'annonce des résultats, quand pourrait-on, n'est-ce pas ?
le chulo se reserve!
il n'a pas encore acheté, il se défie de la con sensualité.
il s'est déjà fait baiser par la joliesse de terres taurines.
derrière les images, la joliesse.
derrière les mots le mensonge.
derrière le mensonge une réalité qui fuit.
enfin, il arrive au chulo de penser, toujours dans le doute et la méfiance de toute institution fût elle bloggienne.
ce qui l'intéresse est ce qui dépasse, gratte et ulcère, pas le con - sensuel fût t'il torista, forcément vertueux, quand on met des gosses innocents face à des toros toros, ou torista quand comme a la malagueta hier, on fout des outres décornues face à des clowns..
mais je promets que si maja se lance, j'achéterai pour lui répondre.
Défi relevé Marc. Pas de doses de dégustation mais des rasades généreuses en ce dimanche sans attraits.
Résumer ce livre est un exercice délicat car multiplicité de vécus, rêves, folies, compassions, joies tristesses ... Chaque chapitre est un univers.
Hélas, mon résumé était trop long (peut-être trop "fouillé") et les limites de caractères du blog ont vite été atteintes.
C'est donc un condensé du résumé qui s'impose. Je vais d'ailleurs le soumettre en 2 ou 3 parties car je crains encore des limites (suis peu professionnelle en technique bloggesque)
De la tasca madrilène (La Venencia) où fougue aficionade arrosée et bruyante nous emmène à un séjour à Salamanca selon un inventaire à la Prévert très pittoresque.
Point sensible soulevé : l'incommunicabilité entre les pro et anti-corrida. Pourquoi justifier ses choix ? Les vivre ou les affirmer en les revendiquant ne devrait-il pas suffire et arrêter tous combats stériles ?
Toros forts et puissants avec caste sacrifiés par des faenas pauvres et "sucias" qui ne leur offrent pas la dimension digne de leur bravoure : Clavel Blanco (faux corralero), Confitero (expédié sans les 3 piques maîtrisées et mesurées qu'il méritait), les 7 piques du courageaux Montenegro (Yonnet) qui ne lui valurent aucun indulto, Toro Lunar (à sa robe si singulière) et tous les autres ...
Quant aux élevages, une fin annoncée des encastes glorieux fait ressortir la sublimation des toros de Dolores Aguirre qui conservent encore force et valeur.
Cyr 01 (suite)
Plaidoyer pour la liberté de choix et d'appréciation de l'esthétique du toro. Pas d'explication. Aucune vérité en ce sens (cornes, poids, ...) Il faut accepter l'effet de surprise d'une corrida, spectacle éphémère et imprévisible.
Déambulations descriptives dans divers élevages (des plus prestigieux aux plus modestes) ayant pour dénominateur commun : l'amour du toro. L'accent est mis sur les "fundas" qui fragilisent (?) ces dernières en les rendant molles et friables (de mantequilla) Qui plus est, le toro devient tellement ridicule avec ces cornes dénaturées. Laissons le sélection naturelle faire son oeuvre como dios manda !
Ouh-là, ouh-là.... que de précipitation ! Mais non, pas par les commentaires, par email et sur word, je l'attendais moi... à tête reposée, lecture digérée... y'a pas le feu.... ! ça aurait fait un post à part entière !!!
Oups !
Quand je disais que je n'étais pas un as de la com' bloggesque !
Désolée
Arrêtons donc
M. Lola
Meuh, noooon, on n'arrête pas, on continue différemment : c'est juste que, autant pour le livre que pour vos commentaires, cela mérite certainement d'être rédigé tran-qui-lle-ment.... lààààà....doucement... ( moi je vais toujours très vite...) pour, à la fois le présenter et aussi dire votre sentiment à son égard.
Y'a pas l'feu ! On souffle en rentrant le ventre, lààààà...
Rédigez, rédigez et puis envoyez moi-le là :
marcdelon30@orange.fr
Enfin si ça vous amuse, hein, pas d'obligation... mais comme vous avez déjà fait le brouillon... ce serait dommage de ne pas finaliser !
Vous avez raison. Il faut toujours freiner ses impatiences et une respiration abdominale (je reconnais là le conseil du "pro") est parfois indispensable ! D'autant que je la pratique souvent, en d'autres circonstances il est vrai.
Hasta pronto
Maja Lola
Bonjour je suis Mig 93. Des photos de la dernières féria d'Arles sont visibles sur http://photomig93.0rg.fr
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