La grande force est le désir.
Guillaume Apollinaire
Ou comment l'aficion à l'écriture de la lumière, à la littérature et à la tauromachie peuvent essayer de se côtoyer pour potentialiser le plaisir d'en partager les attraits. C'est pompeux ? Tant pis, pour l'instant j'ai pas mieux...
2 commentaires:
Oui. C'est le désir qui nous ferait lever des montagnes !
Et comme dirait le Capitaine Haddock: "il aurait mieux fait de les aplatir!"
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